Seven Stars Studios
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 La nouvelle promue ft. Terrence

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MessageSujet: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptySam 24 Jan - 17:57


J’aurais pas dû boire comme un con hier. J’aurais pas dû. Parce que la gueule de bois que je me tapais là, maintenant, était plutôt mémorable. J’avais un de ces mal de tête, qu’on aurait dit qu’on fendait mon crâne en deux. Mais tout ça, c’était la faute de cette conne de japonaise que j’avais pris plaisir à enculer et qui m’avait fait boire plus que je ne le devrais. J’avais eu la nette impression de vivre vingt années en arrière, et cette sensation revigorante, rajeunissante, m’avait beaucoup fait plaisir. Sauf que depuis ce matin, je payais les pots cassés de mon ardeur passée. On aurait même pu croire que je regrettais mon escapade nocturne d’hier, mais pas du tout. Malgré ma migraine, j’arrivais à sourire comme un idiot, rien qu’en pensant aux petites galipettes avec cette asiatique. Une belle callipyge que j’avais enculé avec tout le bon cœur du monde, jusqu’à n’en plus pouvoir bander correctement !

Cela étant dit, il fallait que je bosse malgré mon état. Après le démantèlement de mon vaste réseau de trafic de drogues, je me devais de rebondir, repenser minutieusement mon business avant de rétablir une nouvelle branche de ce côté. C’est dans ce sens que mon toubib personnel me prescrivit un calmant pour ma migraine. Trente minutes plus tard, je ne sentais presque plus de douleurs. Je fis rassembler mes hommes de confiance pour une réunion sur le sujet qui ne dura finalement qu’une petite heure, avant que tous ne sortent avec un petit sourire en coin et l’air satisfait. La plupart d’entre eux partirent se préparer pour un vol à destination de Tokyo. J’aurai voulu faire de même, mais ma place était ici, en Arizona. Il faut dire qu’avec les absences répétées de Jake, j’étais le seul à pouvoir faire correctement tourner SSS. Une affaire qui me rapportait assurément bien plus que tous mes trafics réunis.

- « Monsieur, vous avez de la visite. La personne se nomme Terrence McLauchlan. »


L’une de mes nombreuses servantes avait attendu que le dernier homme sorte, pour se faufiler dans mon bureau et m’annoncer ce nom ne me dit absolument rien sur le moment. C’est limite si je n’avais pas eu l’envie de renvoyer la personne. Encore un emmerdeur, que je pensai sur le champ, parce que dans ma tête, il devait s’agir d’un homme, ni plus ni moins. Je soupirai en m’allumant un cigare. L’idéal était d’en finir et de bien me reposer toute cette journée. « Dites à cette personne que je veux bien la recevoir. » Ma servante s’inclina sous mon ordre et sortit pour aller chercher le visiteur. Pis je me mis à consulter mes mails d’un air vague. C’est ainsi que je constatai que Jake m’en avait envoyé un hier soir. Je l’ouvris tout en réajustant les cols de ma chemise blanche que j’avais revêtue négligemment, avant de blêmir devant le titre de son fameux message qui ne souffrait d’aucune ambiguïté.

Terrence McLauchlan.
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptySam 24 Jan - 21:45

S'il y avait bien un truc que je n'aimais pas, dans ce boulot, c'était les ronds de jambes. La sécurité, pour moi, ce n'était le lieu pour être poli ou lissé. C'était passe ou casse, marche ou crèche. La différence entre la vie et la mort ne se jouait pas à grand chose, et c'était détestable de voir que peu voulaient accepter ce fait. Avec le job de chef de la sécurité de SSS venait pourtant des obligations... politiques dirons-nous. Je ne devais rendre des comptes qu'aux chefs, mais ces mêmes chefs, j'étais censée les protéger. Autant dire mon chèque de fin de mois reposait beaucoup sur leur capacité à pouvoir le signer, ce chèque.
Aussi, l'une de mes premières missions fut de m'occuper personnellement des dossiers des huiles de 3S. La plupart avait leur propre système de sécurité, comprenant alarmes, surveillance et garde rapprochée. Ça ne m'étonnait pas : bien que je n'en susse pas tous les détails, je savais que mon nouvel employeur servait de couverture à des gangs ou des mafias. Le monde du 7ème art était de facto un bubon bien purulent, mais celui du X ? Je veux dire, quel abruti sur terre pensait que le porno était clean et sans magouille ? Faut pas se leurrer. Loin de moi l'idée de m’immiscer dans la machinerie des gangs. Tout ce que je voulais, c'était définir le protocole, de qui fait quoi quand, où et comment.

Angel Hernández était le vice-président. Et pour le moment, le seul dans mon champ d'action. J'avais donc passé ma journée à bosser sur son dossier, à rencontrer ses gorilles, à me faire remettre ses numéros de téléphone, doubles de ses clés, me familiariser avec ses routines et habitudes. Puis j'avais fait le tour de son staff, pour me présenter, pour que chacun sût qui j'étais si je devais débouler en catastrophe pour une raison à déterminer. Pas la peine de se prendre une balle dans la tête parce qu'on avait été prise pour quelqu'un d'autre.
Au bout du compte, il ne restait que le dernier détail, mais pas des moindres : rencontrer la bestiole en personne. Au fil de la journée, j'avais pu me faire une idée précise de quel énergumène s'était. Pas forcément ce à quoi je m'attendais, mais comme de toutes les manières, je n'avais pas droit au chapitre. J'espérais donc qu'il n'allait pas m'emmerder, et qu'on allait pouvoir bosser en toute intelligence. J'étais une professionnelle, et je comptais bien le rester. Surtout que c'était encore la meilleure façon de rester en vie. J'voulais pas le bassiner avec mes règles de sécurité, mais je ne voulais pas non plus qu'il n'en fît qu'à sa tête. L'équilibre était délicat.

Sa villa était, pour le moment, hors de ma juridiction. Pourtant, c'était là que j'allais le rencontrer. Désireuse de nouer une relation positive avec le patron, je lui concédais de base l'avantage du terrain. Après avoir fait le tour du bâtiment avec le chef local de la sécurité, et salué les bonniches – encore une fois, qu'elles puissent me reconnaître – j'attendis un petit moment avant de pouvoir le rencontrer. La soirée était avancée et j'en avais marre. Je rêvais d'un bon footing pour me détendre puis d'une douche brûlante. Parfois je me demandais si j'avais bien fait en demandant cette promotion...
Le bureau était d'un luxe presque indécent, mais encore une fois, lorsqu'on parlait de Señor Hernández. Vêtue de ce que j'appelais mon habit de travail de tous les jours – baskets, jean bleu foncé avec un débardeur à petite bretelles, soutif-de sport, hoodie à zipper, avec mon holster sous le bras et ma lame derrière le dos – les cheveux libres au vent, je savais que je donnais l'air d'une ado mal finie. Mais justement, c'était bien ça le piège. Qui penserait que j'étais Terrence McLauchlan, ou Mac, comme on me connaissait dans le milieu ? Qui penserait que j'étais capable de soulever deux fois mon poids et de fracturer à peu près tous les os du corps ? Qui se méfierait de la donzelle sans fard ou éclat que j'étais ?

- « Bonsoir Monsieur. » fis-je en m'approchant jusqu'à son bureau, sans donner l'idée que j'allais m’asseoir ou espérait une invitation à m'asseoir. Je ne lui tendais pas la main. Je n'étais pas là pour le plaisir ou les affaires. Et puis, les contacts physiques, faut pas y faire confiance.  « Terrence McLauchlan, chef de la sécurité à Seven Stars. Je viens de faire le tour des dispositifs vous concernant, et je tenais à vous saluer avant de partir, afin que vous me reconnaissiez si nécessaire. Je sais que vous avez vos propres gardes du corps, et nous allons travailler en bonne intelligence. »

A ce moment, je m'attendais à quelque chose mêlant des félicitations creuses, des recommandations d'usage, peut-être même une tentative pour ne pas prendre 3S au sérieux, encore moins avec moi à la tête du service. En gros, me faire rembarrer rapidement et proprement.
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyDim 25 Jan - 16:08


- « C’est une blague hein… ? »

J’avais même pas eu le temps de lire le contenu du mail qu’elle avait fait son entrée. Et là, ce fut le drame ! Au lieu d’un mec, j’avais devant une femme. Enfin… Une femme, c’était même vite dit. Disons une ado. Parce que c’était pas possible autrement. Bon d’accord. J’admettais qu’elle avait de gros loloches. Mais les gros lolos, ça n’a jamais été mon kif. Pis de nos jours, les adolescentes étaient précoces. C’était pas déconnant de dire que la plupart des gamines de 16 piges avaient déjà un bonnet D, ce qui devait être le cas de cette petite qui se tenait devant moi en se targuant d’être la nouvelle cheftaine de la sécurité de SSS. De plus, comment dire… J’avais moi aussi été garde de corps par le passé… J’avais fait mes preuves via des combats sanglants, des meurtres, avant de finir chef d’une mafia japonaise, moi, un étranger, un latino pur jus. De par mon expérience, j’avais également appris que l’apparence est trompeuse. Mais sur le coup, là, maintenant, j’avais un peu du mal à croire que cette… cette fille était une garde de corps. C’était même pas possible. Sans doute une blague de mauvais gout de Jake.

- « D’accord, d’accord, j’ai compris. C’est le président qui t’envoie me distraire un peu, c’est ça ? Sacré Jake ! Il sait qu’il me laisse un travail monstre, alors il compense comme il peut ! »

Les yeux fermés et le sourire aux lèvres, je remuai ma tête comme un imbécile, certain qu’il ne s’agissait rien de plus qu’une vaste connerie de mon supérieur ! Ceci dit, ça avait l’air de me faire sourire. Il voulait que je m’enfile cette jeunette ? Pas moyen. J’étais pas pédophile. J’étais p’être un gros connard sans scrupules, mais il y avait quand même de ces choses que je ne pouvais absolument pas faire. Et puis elle n’avait que des seins de ce que je voyais. Donc au final, c’était mort de chez mort. Je tirai une autre taffe de mon cigare, avant de fermer mon ordi portable. Finalement, je n’avais même pas lu le mail dans son intégralité. Juste le titre et c’est tout. De quoi empirer la situation. Puis je me levai avant de contourner mon bureau et me pointer juste en face d’elle. Un fait qui n’arrangeait vraiment pas mon avis sur la jeune femme qui me paraissait bien trop frêle pour faire partie de la sécurité de SSS. On ne jugeait pas sur l’apparence, hein ? D’accord. Mais il ne fallait pas non plus exagérer. Me dire que cette fille, cette gamine allait commander des mecs plus grands et plus costauds qu’elle ? Impossible…

- « Ou alors… Tu dois être certainement parenté à Jake. L’une de ses cousines peut-être ? Vu son absence, il veut sans doute que je m’occupe de toi, c’est ça ? »


Voilà. L’idée m’était venue comme ça et elle me paraissait plausible. Encore meilleure que la précédente. Ça expliquerait certainement pourquoi mes gardes l’avaient laissé rentrer dans mon domaine ! Il fallait vraiment que j’apprenne à connaitre l’entourage de mes collaborateurs au cas où. J’étais trop égocentrique, trop centré sur ma propre famille, ma propre faction, d’autant plus que j’avais récupéré ma fille il y a peu. J’eus donc un sourire avant de glisser mes mains sur ses joues que je me mis à tripoter comme un papa-gâteau. Il faut dire que depuis qu’Angela était rentrée dans ma vie, j’avais développé une fibre paternelle insoupçonnée. Pis je la tins par les épaules avant de la retourner complètement, histoire de la pousser gentiment vers l’extérieur : « Allez, on va passer à table et ensuite, on appellera Ja… » Ma phrase se perdit dans le vide… Alors que je voulus sortir vers elle, mon regard se braqua comme par magie vers sa chute de reins. Et ce ne fut pas sa lame qui me décontenança, non. Mais bien la forme de son auguste postérieur qui m’affola. Une callipyge. Une vraie. Un cul de rêve qui défiait même ceux des actrices de SSS…

- « Heum… Sors. Sors et demande à la servante qui t’a fait entrer de te préparer une chambre et tout ça… On se verra plus tard ! Juste le temps pour moi de téléphoner à Jake ! »

Sur ce, je me retournai vers le bureau et me laissai tomber sur l’un des sièges d’invités, en passant une main lasse dans ma chevelure, les yeux fermés. Mon froc était partiellement déformé. Et c’était tout honteux que j’étais d’avoir bavé et bandé, ne serait-ce qu’une seconde, sur l’opulent postérieur d’une petite de son genre. Le plus marrant dans tout ça, c’est que je détenais des réseaux de prostitutions où mes proxénètes utilisaient parfois des mineures. Mais de là à bourrer moi-même le cul d’une enfant de moins de 18 ans ? C’était pas du tout possible. Paradoxal hein ?
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyDim 25 Jan - 20:31

J'avoue, je n'avais pas prévu ça. Faut dire, il en aurait fallu de l'imagination, pour pondre ce scénar. Je ne doutais pas qu'il y avait des types sur terre capables de. Mais pas moi. J'étais plutôt terre à terre, comme fille. Mais je n'étais pas manche. Bien au contraire. Dégourdie, c'était mon second prénom. Fallait savoir s'adapter pour survivre, et c'était comme ça qu'une gamine perdue du fin fond de l'Iowa était devenue chef de la sécurité à 3S. Ouais, d'accord, je n'avais pas encore été face à face à des défis comme les mafieux pouvaient s'en payer. Mais quelque part, j'avais été assez douée pour éviter ce cas de figure. J'avais flirté avec la ligne de démarcation, et j'avais fait mon trou à la limite de, mais dans le légal.

Du coup, si la réaction de Hernández me prit de court, je rebondis rapidement. Au lieu de me laisser me congédier, comme j'aurais pu le faire, prenant par là même la poudre d'escampette... et quoi après ? Le faire se sentir ridicule une fois qu'il aura réalisé qui j'étais ? Me mettre à dos le vice-préz ? Nan mais oh ! Donc, je me retournai, le regardant d'un air blasé :
- « Je ne suis pas apparentée à M. Delacroix, et je ne suis ni une distraction pour vous, ni une charge. Je suis Terrence, mais vous pouvez m'appeler Terry, et je suis chef de la sécurité à 3S, où j'ai bossé avant comme garde du corps. Et j'ai 26 ans, au cas où vous auriez des doutes. Le reste est sur mon CV. » Ne pas en rajouter, rester professionnelle, ne faire comme si de rien n'était. « Si vous n'avez plus besoin de mes compétences, je vous laisse, Monsieur Hernández. Bonne soirée. »

Vu qu'il m'avait de lui-même donné congé avant, et vu que comment la conversation avait commencé, je le voyais mal me retenir pour faire plus amples connaissances. Je le saluai donc d'un signe de tête, prenant de moi-même la porte, la refermant doucement après moi.
Ça, c'était fait. J'avais dit quoi ? Footing et douche, hein. Ben me voilà...
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyLun 26 Jan - 2:01


Porte que j’avais rouverte direct, spontanément et que je refermai derrière moi lorsque je fus à l’extérieur du bureau, à ses côtés.

- « Hey, me fais pas cette tête. Tu me ferais carrément déprimer, là. D'accord, j'ai été con sur le coup, mais quand même ! »

Je l’attrapai par une main et je l’observai tranquillement. Décidément, elle me paraissait trop insignifiante pour ce poste. Mais vu comment elle réagissait, elle devait pas mentir. D’autant plus qu’elle devait savoir qui j’étais et tout. Une pauvre chef de sécurité ne s’amuserait certainement pas à se payer la tête de son supérieur. J’étais peut-être pas celui qui l’avait promue, mais j’étais quand même en position de la virer. Ceci dit, toute cette situation me paraissait bizarre. Ou alors, il s’agissait d’une pro dans le milieu qui savait bien cacher son jeu. Parce que sérieux, elle faisait trop adolescente cette meuf, et ce malgré ses gros loloches que n’importe quel homme aimerait avoir en main ou en bouche, c’est selon. Tout d’un coup, mon sourire s’effaça. A force de mater ouvertement sa poitrine, j’avais senti un truc. Ma mine était devenue sérieuse, presque réfléchie. Je lâchai alors son poignet et dirigeai ma main vers à l’intérieur de son hoodie. On aurait pu croire que je voulais peloter ses énormes seins, mais non. Je passai habilement ma main vers son aisselle, avant de tâter ce qui semblait être un holster. Pas de doute possibles…

- « Eh bien… Je me sens tout bête tout d’un coup. Si on t’avait envoyé me tuer, t’aurais pas vraiment eu de mal… »

J’aurai pu pousser le bouchon plus loin en m’emparant de son arme, mais je préférai retirer ma main, tout sourire. J’étais vraiment, mais vraiment navré. Je gardais mon orgueil pour les personnes qui m’énervaient, mais cette petite me charmait véritablement. Du coup, lui présenter des excuses n’était pas forcément une mauvaise idée, même si je n’allais pas m’attarder dessus : « Je suis franchement navré. Jake ne m’en a pas par… » Blanc. C’est à ce moment précis que je me souvins du mail que je n’avais pas lu. De quoi me faire soupirer longuement. Dire que je l’avais également confondu à une gamine au point de lui tirer les joues… La honte, j’vous jure… Mais comme le disait mon père par le passé lorsqu’il se défonçait à coup de cocaïne, la honte ne tue pas ! « A te voir, on te prendrait vraiment pour une ado. Je suppose que c’est là ta force… » Des armes dissimulées sous des vêtements, un air juvénile qui ne laissait rien paraitre. Cette femme était une personne dangereuse. Mais très vite, cette pensée se dissipa de mon esprit, lorsque je passai mes bras autour de sa fine taille pour la coller contre moi.

- « Tu me plais beaucoup Terry. T’es vraiment mignonne. Et bien foutue en plus… »

Vulgaire ? C’était le mot. Pervers ? J’assumais. Tant et si bien que je me saisis sans hésiter de ses grosses fesses. Je me mis à les soupeser d’un air amusé, avant de les peloter grassement. C’est fou à quel point je pouvais être obnubilé par sa croupe saillante, et ne pas m’intéresser une seule seconde à sa voluptueuse poitrine pourtant comprimée contre mon propre torse. Au fil des secondes, ma bite grossissait dangereusement, ce que Terry devait sentir au niveau de son bas ventre vu comment nous étions collés-serrés. Je n’avais pas vraiment usé de ma force, mais la pro qu’elle était devait bien le sentir que j’étais plutôt puissant. Mais alors que je penchai ma tête vers la sienne pour l’embrasser, l’une de mes nombreuses servantes se pointa dans le couloir où se trouvait mon bureau, et racla sa gorge avant de m’informer que mon jacuzzi était prêt. Je grognai et lâchai ma proie avec déception. Peut-être qu’elle allait me haïr pour cette audace. Peut-être pas. Mais toujours est-il que je tournai les talons vers ma bonniche pour me rendre à mon jacuzzi, lorsque je m’arrêtai d’un seul coup avant de me retourner vers Terry, le sourire aux lèvres :

- « Si t’as rien de mieux à faire, on pourrait prendre ce bain ensemble, non ? »
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyLun 26 Jan - 20:03

Apparemment, adieu tranquillité.  Señor Hernández avait décidé de ne pas me lâcher la grappe. Bon, c'était presque des excuses que je sentais dans sa voix, donc ce n'était pas non plus un mauvais geste de sa part. Ce genre de type, ça ne s'excusait jamais vraiment. Je savais que je n'aurais rien de mieux. Quelle chance pour lui, j'étais telle que je savais me contenter de ce que j'avais. Je hochai donc la tête, lui signifiant que c'était tout oublié. Je retins même mon roulement d'yeux quand il me reluqua un peu trop intensément. Bon, ce n'était pas comme si je n'avais pas l'habitude. Quand j'étais pompom girl ou starlette du catch, j'en montrai dix fois plus, mais franchement, là, maintenant, avec cette tenue ? Y'a pas à dire, mon patron avait bien trouvé sa planque, dans le X. A se demander comment il pouvait bosser, si dès qu'il voyait une paire de fesses ou de seins, il se mettait dans cet état ?

Parce que je l'avais sous-estimé, Angel réussit à glisser sa main dans mon hoodie. D'habitude, la moindre pénétration dans mon espace personnel était chose presque impossible et ce fut malgré moi que je réagis, lui saisissant le poignet, enfonçant mes doigts dans les nerfs pour lui faire lâcher prise. Bon, dans le même mouvement, il s'en allait de lui-même. C'était mon flingue qui l'intéressait dans tout ça. Euuuuuh
- « Désolée. » fis-je en laissant mes doigts se décoller doucement. « Réflexes pro. C'est une assez mauvaise idée de me prendre par surprise. » continuai-je en rougissant un peu de ma belle gaffe. Bon, je ne l'avais pas blessé, pas même projeté contre le mur. Pas de casse, pas de bobo. Mais allez savoir, avec ce genre de gars ? L'orgueil mal placé, ce n'était pas un mythe.

Puis là, il me présenta, pour de vrais, des excuses, et il me sécha sur place. J'ouvris des yeux étonnés, clignai des paupières, prise à contre courant.
- « Une chance que je ne tue pas, alors... » finis-je par presque balbutier, avant de me reprendre. « En effet, mon look est un piège, pour qu'on me sous-estime. Je ne pensais pas qu'il marcherait aussi bien. Mais bon, vous savez maintenant à quoi je dois ma promotion. » Ce qui était une parole complètement innocente devint, à l'instant où je la prononçai, une possible bombe. Ça pouvait très, trop facilement passer pour de la provocation de 'moi, je ne couche pas pour réussir'. Cependant, si Hernández n'était pas un abruti fini, il devrait admettre que dans la sécurité, ce n'était pas comme ça qu'on avançait. Ce qu'on voulait, c'était des compétences, pas des salopes ou des gigolos.

Mais ce n'était pas pour autant que j'étais immunisée. Moi encore moins, avec mon corps. Je n'allais pas mentir : je n'étais pas moche, loin de là. Je n'arrivais pas à la plastique des actrices que je protégeais, mais je savais que j'avais un physique avantageux... un physique que j'assumais, puisque je l'avais travaillé, pour l'utiliser. Mes rêves de danseuse pro pour une équipe sportive, ou d'actrice dans une série d'action comme Buffy, ne dataient pas de si loin. Et bon, coucher pour réussir ? Ça ne m'enchantait guère, mais parfois, il faut savoir faire des sacrifices. Certains bossent 19h par jour, au prix de leur mariage ou leur santé. Moi, il m'était arrivée de me faire culbuter, et pas par des beaux gosses. Ça durait... maximum une heure ? Franchement, moi, je voyais tous les avantages.
Alors, si pour faire plaisir au nouveau boss, je devais me faire peloter. Allons-y. Appelez-moi prude si ça vous chante, mais je n'étais pas à l'aise. Pas du tout. J'dis pas qu'il me faut les violons et les bouquets de roses, mais j'avais toujours eu du mal à passer du coq à l'âne, comme ça. Et en parlant d'âne, on était au cœur du sujet.
Il avait beau dire, look de gamine ou pas look de gamine, il bandait, le salopard. Ce qui n'était pas pour arranger ma situation, où j'étais juste mal à l'aise. Et là, je rougis, comme pas permis.
- « Euh... merci ? » Je répondis à son compliment avec trois temps de retard, ne voulant ni le froisser, ni l'offenser. Je ne voulais pas le repousser comme ça, au risque que ça me retombe dessus, mais je n'avais pas envie qu'il pense que j'étais une fille facile, acceptant de se faire tripoter comme ça. De plus, je voulais qu'il me respecte en tant que professionnelle. Si je devais un jour agir pour lui sauver la peau, il devait me prendre au sérieux, suivre mes ordres sans sourciller, s'allonger si je lui disais de toucher le sol et de courir si je lui disais d'y aller. Or, en général, ce genre de contact menait à d'autres choses, et ces autres choses ne menaient pas à un respect.

Aussi sa proposition « sincère » me prit un peu de court. J'avais l'impression que si je disais « non », il allait accepter ma décision. Ce ne serait pas forcément sans conséquences. Finalement, il était peut-être pervers, mais pas dénué de toute fibre empathique. Ce qui rendait encore plus difficile de lui répondre fermement.
- « Je peux effectivement faire le maître nageur. » Tentative d'humour un peu ratée, mais ça posait le truc, en introduction.  « Si vous me promettez que ça sera en tout bien, tout honneur, je veux bien vous accompagner. J'espère que vous comprendrez que je ne peux pas me laisser distraire quand je suis en service. Et puis... . » Bah, on était lancée, non ? Allez Terry, ne fais pas ta mijaurée. Du coup, j'avançai vers lui, me portant à son niveau, pour effectivement l'accompagner. « … même si je suis plutôt flattée de vos compliments, je dois rester pro, face à vous, face à vos hommes. Je ne peux pas prendre le risque d'être vue autrement que comme le chef de la sécurité. » Moi, le féminisme à outrage de « cheffesse », ça me faisait marrer. Dans la sécurité, y'a pas de boules, de vagins ou autre. Y'a ceux qui peuvent, et ceux qui ne peuvent pas. Mais ça, c'est idéalement. Dans la pratique, c'était déjà assez difficile de se faire admettre quand on était une fille de mon gabarit, mais si tu rajoutes mon âge, et le fait que je me tape le patron dès notre première rencontre ?
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyMar 27 Jan - 20:51


- « Rien à foutre de ton éthique professionnelle. »

Je lui avais répondu sans ambages, avant de poser une main sur l’une de ses épaules pour stopper sa marche avec moi. Pis de ma paluche de libre, je fis un geste vague pour congédier ma bonniche qui m’attendait. Celle-ci s’inclina poliment et s’éclipsa bien vite de l’endroit. Je me déportai enfin sur le côté de mon interlocutrice de sorte à ce qu’on soit face à face avant de lui faire un beau sourire. Elle devait certainement me traiter de tous les noms, surtout après ce que je venais de lui dire. Mais ce qui allait suivre allait peut-être l’étonner. Ou pas. « Je ne remets pas du tout tes compétences en question. Je ne t’ai pas non plus flatté pour mieux t’appâter ensuite. Mais je déteste vraiment qu’on me parle d’éthique. » Surtout que ses circonlocutions n’avaient que pour but de me faire comprendre qu’elle n’était pas une fan de promotion canapé (Voilà qui était rare !) et qu’elle tenait à sa dignité etc… Bien que je trouvais ceux qui me sortaient ce genre de discours assez courageux, ça me faisait quand même bailler…

- « Si tu avais un boulot autre que celui que tu remplis actuellement, je t’aurai même pas proposé de baiser. Je t’aurai forcé à le faire, tout simplement. Ceci dit, j’ai été garde de corps comme toi et je nourris une affection particulière pour les personnes qui travaillent dans la sécurité. Sois sans craintes. J’vais pas t’en faire baver si tu refuses. N’aie pas non plus peur de t’exprimer franchement avec moi. Sans être impolie, on s’entend. Tu peux d’ailleurs retourner à tes occupations. »

On aurait pu croire que je me serai retourné, mais je penchai ma tête vers la sienne pour baiser ses lèvres, non sans porter mes mains sur son cul, encore. Sa croupe me rendait dingue. Les caucasiennes qui avaient un si beau et gros derrière n’étaient pas courantes ! Ou alors, elles étaient tout bonnement actrices, ce qui n’avait parfois rien d’attirant pour moi, puisque j’en avais enculé bon nombre jusqu’à en finir un peu blasé. Voilà un peu pourquoi Terry m’attirait. Elle m’intriguait, titillait ma curiosité, sans oublier que sa joliesse m’affolait vraiment. Si elle me rendait fou quand elle était affublée comme ça, j’osais même pas l’imaginer maquillée et bien fringuée. Une putain de bombe. Naturelle et sans artifices. Bon Dieu… « J’vais pas te mentir. Ça me fait mal de passer à côté d’une jolie femme comme toi… » Sur ces mots et un peu à regrets, je lâchai sa croupe et me redressai pour me retourner. Je me mis à avancer en fourrant mes mains dans mes poches, jusqu’à me stopper devant des escaliers, au fond du couloir.

- « Par contre, dis-toi bien que je lâcherai pas du tout l’affaire. L’homme que je suis et non le patron, est juste trop charmé par la femme que tu es. Y’a pas moyen qu’on en reste là ! »


Et sur ces mots, je grimpai tranquillement les marches de l’escalier. Cette meuf, il me la fallait. Mais sans passer par des procédés fourbes comme j’en avais l’habitude. J’avais déjà usé du chantage du fait du haut poste que j’occupe. J’avais également utilisé des aphrodisiaques pour parvenir à mes fins… J’avais mis en place plusieurs plans pour sauter des femmes… Mais Terry avait eu la chance de gagner ma sympathie. Ceci étant dit, rien ne pressait réellement.  Vu qu’elle était encore toute nouvelle, j’avais le temps pour moi. D’ailleurs, je prévoyais de revenir à la charge lors de notre prochain rencontre. Quand ? Seul Dieu le savait. Quelques minutes plus tard, j’étais dans mon jacuzzi, un verre de champagne à la main, sourire aux lèvres. Le jacuzzi était situé sur la terrasse du dernier étage de la bâtisse, d’où on avait une superbe vue sur les alentours et même plus loin… C’était dommage que la cheftaine ne soit pas là. Du reste, c’est sourire aux lèvres que je me demandais ce qu’elle pouvait bien faire actuellement.
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyMer 28 Jan - 18:49

Ben la cheftaine, elle restait sur le cul. J'avais du mal à intégrer tout ça. Bon, sa remarque sur ma conscience professionnelle m'était un peu restée au travers de la gorge. Mince, on parlait de sécurité. J'veux dire, il serait prêt à remettre le sort des filles de sa boite de prod entre les mains d'une personne qui préfère s'envoyer en l'air que de faire son boulot ? Ce n'était pas comme si j'étais... le traiteur ou la kiné-masseuse. Si je n'avais pas d'éthique, comme il l'avait dit, je serais juste mauvaise à mon job. Et ce n'était pas dans ses intérêts que je sois mauvaise dans mon job. En tous les cas, moi, je ne confierais jamais ma vie à un mec - ou une nana - que je pense être une ordure. Certes, on peut être un violeur de petite fille et assurer en corps à corps et à l'arme à feu. Mais bon, un mec qui n'a pas de morale, peut forcément être acheté et trahir. Un mec qui n'a pas de moral n'est pas prêt à se sacrifier pour son patron, à prendre des coups pour lui, voire même une balle.
Mais il m'avait dit qu'il ne m'avait pas flattée pour me mettre dans son lit, qu'il ne remettait pas en cause mes compétences. Donc, comment voulait-il que j'arrive à aligner son intérêt purement sexuel pour moi, son respect pour mon job, et son mépris de la déontologie ? Du coup, là, je ne comprenais pas. Alors, peut-être qu'il est habitué à la promotion-canapé, que pour lui, c'est normal. D'ailleurs, en y repensant, il avait dit qu'il avait déjà, et n'hésiterait pas à recommencer, forcé des filles à coucher avec lui. Bah, pas étant que l'éthique et lui fassent deux. N'empêche, s'il n'était pas con, il comprendrait que son garde-du-corps, il fallait qu'il en ait, lui, une, d'éthique.

Quelle chance pour moi, je n'étais pas à son service personnel, mais à celui de la boite où il n'était même pas investisseur principal. Une petite distinction, qui avait pourtant toute sa signification. Il avait du pouvoir sur moi, mais pas forcément autant que ça.
Alors que je faisais demi-tour pour quitter les lieux, puisque j'avais eu le choix et que je choisissais de ne pas m'engager sur cette pente glissante dès ce soir – je réalisais qu'il avait, à sa façon, déclarer vouloir me séduire. M'obliger à sa manière, à venir à lui. Ouais, bon, ben, c'était pas gagné. Ce type était une ordure, et puisque je n'avais rien à gagner dans l'histoire, je ne voyais pas ce que j'irais faire dans son pieu. A la rigueur, s'il venait à me menacer de me virer. Et encore ? Je crois que je préférerai encore me retrouver au chômage que de laisser un mec comme Angel Hernández avoir un tel pouvoir sur moi.
A partir du moment où je le laissais me sauter, c'était le moment où j'acceptais de mettre en avant ses désirs et pas ma mission. Or, si quelqu'un se faisait canarder alors que j'étais censée être sur place, ou avoir mis en place la protection nécessaire, pendant que je me faisais sauter... ben sauterie ou pas, j'étais virée. Je savais parfaitement que coucher avec Hernández ne m'offrirait aucune protection. Donc, ouais, virée pour virée, autant éviter la case « plumard, ne prenez pas 20 000 euros et allez directement vous faire foutre. Littéralement ».

C'était dans cet état d'esprit que je revins dans sa ville quelque chose comme deux semaines plus tard. Décidée à ne pas céder à ses avances, mais à entretenir une relation amicale et professionnelle avec lui. Il finirait bien par se lasser, me disais-je. Avec toutes les actrices et aspirantes actrices, sans parler des secrétaires et du staff de SSS, il avait clairement un terrain de chasse lui permettant de m'oublier. Surtout que je n'avais rien de bien affriolant à offrir – en tout cas, à mes yeux. J'étais loin d'avoir l'aura sensuelle des femmes que je savais qu'il côtoyait. Je n'étais si sexy, ni torride, ni masochiste. J'étais d'une banale normalité. Mes pratiques sexuelles pouvaient être passionnées, mais n'avaient rien de particulièrement exotique. Une bonne levrette de temps en temps, et en général, ce bon vieux missionnaire n'avait jamais failli. J'avais assisté à suffisamment de tournages pour savoir ce qu'il pouvait se pratiquer entre une femme et un homme, et rien de tout ça ne m'avait particulièrement émoustillé. Je vivais assez dangereusement comme ça pour avoir envie de pimenter ma vie sexuelle.

Ce soir là, j'étais en tenue « chic ». Une boite de nuit ouvrait ses portes quelque part en ville. Les filles et les acteur de SSS avaient été invités en VIP, puisque cette discothèque se voulait réservée à la haute, et donnait dans le baroque décadent. J'avais mis une grosse équipe sur le coup, et j'avais décidé d'aller sur le terrain, pour vérifier que tout allait bien. Pour l'occasion, j'avais mis un pantalon fluide, une paire de chaussure à hauts talons me permettant surtout de marcher et courir si nécessaire et un dos nu à col bénitier. J'avais passé moins de dix minutes à me maquiller. L'idée était de se fondre dans la masse, donc de ressembler aux autres filles, sans attirer l'attention. Pas besoin d'armes ce soir. Il n'y avait pas d'agression particulière à craindre, et les hommes sur place étaient armés, eux. Moi, j'étais là pour veiller que les filles et les mecs de la prod ne se shootent pas à la coc' jusqu'aux yeux ou se fassent stupidement embrocher dans les WC. SSS avait une réputation à tenir : on faisait du X, ouais, mais on n'était pas des traînés. Un peu de self-respect.

Spoiler:

Si je faisais un crochet chez le chef, c'était pour obtenir enfin confirmation qu'il venait ou pas à cette inauguration à laquelle il avait été convié, personnellement. Ni sa secrétaire ni personne ne savait ce qu'il voulait faire. Après avoir présenté pattes blanches auprès de sa sécurité, et puisque j'étais désormais connue, je fus introduite dans son bureau :
- « Bonsoir, Monsieur. Je suis en route pour la soirée du Paradisio. J'ai Ingrid et Lucrezia dans une limousine, là dehors. Voulez-vous venir avec elles ? Ou dois-je décliner l'invitation auprès du proprio ? »

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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyVen 30 Jan - 14:36


- « Hein… ? »

Alors que je téléphonais à l’un de mes nombreux partenaires, mes hommes firent rentrer une bombasse dans mon bureau. J’écourtai rapidement la conversation téléphonique avec tout le respect qu’il faut, avant de reporter mon attention vers la jeune femme. Et là, sans gêne, j’émis un sifflet d’admiration. Putain qu’elle était belle ! Et tellement bien foutue ! J’eus même, pendant une bonne poignée de secondes, mon regard rivé sur sa lourde poitrine. Etre fétichiste de cul ne me privait pas de me rincer les yeux, surtout avec une aussi jolie créature. Mais lorsque je reportai mon attention sur son beau minois, je ne pus vraiment pas m’empêcher de lui demander à haute et intelligible voix…

- « Mais t’es qui toi ? Une nouvelle employée ? Ou bien une promotrice du Paradisio ? »


J’avais beau la regarder sous tous ses angles, mais rien ne me venait vraiment à l’esprit. Le fait est que j’avais complètement oublié l’existence de Terrence. J’avais été charmé, certes, mais pas pour autant envouté, surtout que pendant ces derniers jours et comme d’habitude, d’autres femmes étaient passées dans mon lit. De quoi me faire zapper complètement la jeunette que j’avais grassement peloté la dernière fois. Pis, son look ne m’aidait pas vraiment. Comment reconnaitre en cette beauté presque fatale, la gamine un peu paumée de la précédente rencontre qui m’avait foutu un gros vent pour me prouver qu’elle n’avait pas besoin de coucher pour réussir ? Comme quoi, le maquillage faisait des merveilles.

- « Sinon, je n’y vais pas. Avec le nombre monstres de personnes qu’il y aura et les gardes de corps avec, pas moyen… »


J’étais un peu comme un président et tout. J’aimais beaucoup mes petites escapades en solitaire, sans aucun garde à mes talons. Je savais que c’était dangereux pour un mafieux comme moi, mais j’étais de toute façon résigné/prêt à mourir sous les balles ou la lame d’une faction ennemie. Du coup, quand je devais aller en boite, j’y allais seul ou avec deux ou trois gardes de corps discrets, histoire de m’amuser sans pression. Là, ça me parlait pas du tout. Malgré toute la jet set qui se ramènerait… Non… Pas moyen. Vraiment pas moyen. Par contre, je me levai de mon siège, contournai mon bureau avant de me pointer tout juste devant la jeune demoiselle super belle dont je chopai une main pour un baisemain…

- « Tu pourrais rester avec moi… Histoire qu’on s’amuse un peu… »


Bon, cette fois-là, n’ayant pas vraiment conscience qu’il s’agissait de Terry, j’allais faire comme d’hab hein : Du rentre dedans bien comme y faut ! Du coup, je chopai ses miches, ses grosses fesses que je me mis à pétrir dans mes larges paluches, tout en la faisant reculer jusqu’à la porte fermée contre laquelle je la plaquai presque. Puis je nichai ma tête vers son cou que je me mis à embrasser et lécher vulgairement. Lovés comme nous l’étions, je pouvais sentir mon torse comprimer, écraser son opulente poitrine qui ferait frémir plus d’une personne. De son cou, ma bouche progressa jusqu’à ses lèvres que j’embrassai avec gourmandise, tandis que ma main essayait de se fourrer dans son pantalon.

Vu comment j’étais chaud pour la sauter, la jeune femme aurait bien des difficultés à stopper mon ardeur, et c'était peu de le dire.
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptySam 31 Jan - 16:49

Sauf que la jeune femme, c'était moi, et moi, c'était une pro de la sécurité. Alors, bon, en règle générale, j'arrivais à me débarrasser des gluants rapidement, mais sans perte et fracas. Et là, c'est le patron. Contrairement à lui, je n'avais pas la mémoire d'un poisson rouge. Je savais qui c'était, et ce à quoi je m'exposais si je lui faisais un clé style judo pour le propulser sur cul par dessus tête au tapis. Quoi que... peut-être que ça le ferait se marrer. Mais j'avais plus pressé, comme sujet de préoccupation.

Parce que j'avais beau me la jouer indifférente, je mets au défi quiconque de rester de marbre après un tel baiser. Bon, c'était plus intrusif et baveux que je le ne préférais, mais c'était tout de même de la galuche de première qualité. Ce fut donc le souffle court et l'esprit un peu vide que je regagnais mon air, avant de me reprendre.
- « Putain, patron, t'exagères !! » fis-je en le repoussant. Enfin, en essayant. Les mains à plat sur sa poitrine, je réussis à le faire reculer de peut-être quarante centimètres. J'étais automatiquement passé au tutoiement, parce je n'avais jamais été du genre à aimer les conventions sociales. Ce n'était pas pour autant que c'était un manque de respect. Je connais des gens qui se vouvoient et qui se vouaient au diable... « Pas quand je suis en service, merde ! » Je rajoutai une sorte de coup de poing sur cette même poitrine, tandis que je me tortillai pour échapper à son étreinte. « C'est moi, Terry. Bon sang, heureusement que je ne suis pas là pour te tuer. C'est comme ça que tu approches n'importe quelle fille qui te plaît ? En pensant avec ta bite ? Et si c'était une espionne ou une tueuse ? » Oui, en dépit de la situation, j'étais en train de lui remonter les bretelles. Mais on n'a pas idée d'être aussi abruti devant une paire de loches ! Il méritait une paire de claques. Heureusement que je n'étais pas chef de sa sécurité personnelle. Je me ferais des cheveux blancs, tiens...
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyLun 2 Fév - 3:13


- « Terry ?! »

Derrière le maquillage, une très belle femme et pas n’importe laquelle : Terrence. La vraie, l’unique. De quoi me refroidir. Provisoirement seulement, cependant. Car dix secondes plus tard, la frénésie érotique qui m’animait reprit le dessus très rapidement. Et ce fut une paluche qui s’écrasa sur l’un de ses lourds et opulents seins pour un bon tripotage comme à mon habitude. J’avais bien entendu ses phrases, ce qui expliquait mon sourire qui avait rapidement gommé ma mine stupéfaite des secondes précédentes. Et ce que Terry oubliait, c’est que mes hommes ne laissaient pas n’importe qui m’approcher ou pénétrer dans ma demeure, surtout avec une arme. Ils ne l’avaient pas fouillé elle, sans doute parce qu’elle était officiellement la chef de sécurité de Seven Stars Studios ; même si je savais que je n’étais pas à l’abri d’un assassinat avec pour base une infiltration rondement bien menée. Tout est possible.

- « Je fonds. T’es non seulement bandante, mais t’es aussi mignonne à t’occuper de moi comme ça ! Tu veux pas devenir ma femme ? »


Que lui avais-je balancé de but en blanc, le tout sous un sourire. De quoi l’abasourdir pendant quelques petites secondes, puisque j’en tirai profil pour descendre son pantalon noir jusqu’à ses chevilles. Puis je la soulevai complètement dans mes bras, avant d’aller la poser ou plutôt l’allonger sur mon fauteur de bureau dactylo, non sans lui avoir bien écarté les cuisses. J’étais peut-être un pervers et un salaud, mais j’étais pas assez glauque pour penser systématiquement qu’un « non » voulait dire « oui ». Cependant, sa phrase avait été un signe un peu trop tape-à-l’œil. A croire qu’il y avait eu une évolution et c’est cette évidence qui me poussait à ne pas lâcher l’affaire ! De, « je dois rester pro devant vous et vos hommes » on était passé à « Pas pendant les heures de travail ». Qui plus est, il y avait eu sa petite réaction mignonne pendant le baiser qui en disait long. De quoi faire me galvaniser à un point !

- « Juste 20 minutes… Laisse-moi juste 20 petites minutes… »

C’est tout émoustillé que je lui avais formulé ma demande. Pourtant, c’est sans attendre sa réponse que j’avais retiré sa petite culotte en deux temps trois mouvements, l’air impatient. Et là, ce fut un réel choc ! Son gros con était outrageusement sensuel. Les lèvres très charnues, formaient deux larges ourlets bien rebondis qui ne me laissaient pas indifférent. De quoi me forcer à bien tenir ses cuisses écartées et à pencher mon visage vers son sexe. J’humai son odeur pendant quelques secondes, avant de rapprochai mes doigts de ses lèvres que je me tirer vers le haut pour le séparer. Cela eut pour effet de faire bailler sa fente rose et dépiauter son petit bout d’amour. De quoi me ravir. Cette femme avait vraiment tout pour plaire, à un tel point que je me demandai comment les réalisateurs de SSS passaient à côté de ce bijou… Mais telle que je la connaissais, il n’était pas dit qu’elle accepte de se convertir en actrice porno…

- « Putain… »

Plus qu’une quinzaine de minutes et j’en étais conscient. Un fait qui me poussa donc à cueillir son clitoris entre mes lèvres pour l’aspirer, le baigner de ma salive. Je m’amusai même à le mordiller amoureusement, avant de le lâcher une minute plus tard pour descendre un peu plus bas. Là, je me mis à lécher frénétiquement sa vulve sur la longueur, de bas en haut. J’étais pas vraiment un fan de cunni, mais la moule de cette jeune femme m’avait bien trop attiré. Sous le siège, j’avais même fini par faire surgir mon pénis de mon pantalon avant de me branler comme un pauvre puceau pendant que je la léchais avec ardeur. Une fois encore, je grillai cette étape une bonne poignée de secondes plus tard, pour fourrer ma langue roulée sur elle-même au fond de sa craquette légèrement gluante. Alors que mon pif écrasait son clito, je sentis ses chairs s’ouvrir, m’accueillir, de quoi m’encourager à lui dévorer la chatte sans aucune douceur !
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyMar 3 Fév - 18:08

Si j'avais eu un lapsus révélateur, c'était bien à mon corps défendant. Je n'avais pas envie de me faire sauter, par le patron ou pas quiconque. Cependant, maintenant que j'avais un peu d'ancienneté dans la boutique, je savais que tôt ou tard, je passerai à la casserole. Il ne m'avait pas fallu beaucoup de temps et d'effort pour apprendre qu'Angel Hernández se tapait toutes les filles du coin, et pas forcément de façon volontaire de leur part. Irais-je jusqu'à parler de viol. Non, je tenais à ma peau. On n'accuse pas le chef d'une mafia comme ça. Mais il y avait une ligne entre relation appréciée et relations consentie, et Angel la franchissait tous les matins. C'était une forme de chantage sexuel. Ce n'était pas « tu baises pour réussir » mais bien « tu te fais forcément sauter par le patron quand tu bosses ici ». Autant dire que je n'étais pas enchantée par cette perspective et que je m'étais jurée de remettre ça au plus tard possible.

Mais voilà, je n'étais que femme faite de chair. Alors que je reprenais mon souffle après notre baiser et que je cherchais comment répondre à sa pseudo demande en mariage – ma première réaction ayant été de lui mettre un coup de genoux dans les parties intimes – je m'étais retrouvée transportée et dénuée. Et en moins de temps qu'il ne m'en fallait pour charger un .33, je devais l'objet de toutes ses attentions.
- « NON MAIS HÉ !!! je--- non---- mais--- gneeeeeuuuh. » protestai-je au début, avant que ma voix ne me trahît en une sorte de gargouillis peu sexy. Avais-je dit que je n'étais pas forcément la plus chaudasse du coin ? Ça faisait quelque temps que je n'avais pas eu de relations, ne serait-ce qu'un coup du soir, et mine de rien... ben citez-moi une fille qui ne réagit pas, ne serait-ce qu'un peu, à un cunni ? Et non, ne me parlez pas des frigides ou des domatrix fan de bondage...

Arriva ce qui arriva. Mes forces m'abandonnèrent, et je me laissais faire, prise par les vagues de plaisir qui montaient, de plus en plus puissante. Ce qui me restait de fierté – pas beaucoup – refusa que je m'agripasse à ses cheveux comme la plupart des filles le faisaient. Moi, je plantais mes doigts et mes ongles dans les accoudoirs de son fauteuil, laissant mon dos s'arquer, les hanches se tendre jusqu'à ce petit cri étranglé qui marqua ma jouissance. Mes doigts de pieds se recourbèrent et j'eus à la fois très chaud et très froid.
Haletante, réduite à pas grand chose suite à ce mini-orgasme, j'aurais été bonne pour le reste de la soirée si je n'avais pas surpris son sourire satisfait étalé sur sa grand gueule d'empaffé et son sexe sorti de son pantalon qu'il paluchait allégrement. La sordidité de la scène me réveilla, presque à m'en soulever le cœur. Sans grand ménagement, je le repoussais sur pied, appuyant fort sur son épaule.
- « OUAIS BEN VOILA !!! » Je fulminai. « Les vingt minutes sont écoulées. » Bien décidée à ne prolonger mon infamie, je me rhabillai vitesse grand V, et filai, laissant la porte ouverte derrière moi tellement j'étais pressée de quitter les lieux.

Dans la limousine, les deux starlettes du X ne firent aucun commentaire. Faut dire qu'elles avaient mis le nez dans le mini-bar et qu'elles étaient déjà passablement pompettes. Parfait, ça écourterait d'autant plus la soirée. Moi, je n'avais qu'une envie : rentrer chez moi et me laver.... tout en sachant que j'étais partie pour un certain nombre de nuit aux rêves emplis de visions érotiques à la con. Pff, trahie par son propre corps...
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyVen 6 Fév - 1:14


J’eus un fou rire lorsqu’elle s’échappa de mon étreinte comme une furie. Loin de m’énerver, cette jeune femme m’amusait et accentuait mon envie de posséder son cul. Grosses fesses que je regardais d’ailleurs rebondir alors qu’elle s’enfuyait de mon bureau comme une pauvre gamine. Chef de la sécurité qu’on disait. Presque risible ma foi ! Pour ma part, je me relevai tranquillement, tout en me léchant les lèvres pour apprécier sa mouille. Comme déjà mentionné, je n’aimais pas vraiment lécher, mais j’avais pris un immense plaisir à brouter son minou. Un joli petit vagin taillé pour ma grosse verge. Ceci dit, cette salope m’avait laissé dans un sacré état ! J’aurai continué de me branler si l’une de mes boniches n’était pas passée par là, heureusement. Inutile de vous dire qu’elle avait payé à la place de Terry, avant que je ne décide d’aller me doucher pour me changer : Il n’était pas question d’en rester là !

J’étais bon joueur, vous savez. Mais la jeune femme m’avait un peu trop glissé des doigts. Ce soir, ça passait ou ça passait. Pas de casse qui tienne, parce qu’elle finir au bout de ma bite, coûte que coûte. Jamais deux sans trois, qu’on disait ? Pas moyen ! Pour aujourd’hui en tout cas. Du coup, j’expédiai rapidement ma douche avant d’opter pour des vêtements sobres. Une chemise noire, cintrée, qui épousait bien mon corps, avec un jeans et des mocassins assortis au haut. Oui, parce qu’il m’arrivait parfois de faire plus tape-à-l’œil, j’vous jure ! J’optai également pour des verres pharmaceutiques qui me donnaient un petit côté intello, avant d’ébouriffer ma chevelure pour être un peu méconnaissable. L’idée était d’éviter les petites chieuses qui travaillaient à SSS et les grands pontes d’autres structures etc...

Une fois paré, je ne me fis accompagner que de deux gardes du corps dans un 4x4 banal. C’était comme ça que j’allais dans des boites d’habitude, histoire de m’y éclater tranquillement. Une heure plus tard après la « fuite » de Terry, j’étais sur les lieux. Les nombreux membres de la sécurité m’avait pris pour une personne banale, ce pourquoi j’avais poireauté plus de dix minutes à l’entrée avant qu’on ne daigne me laisser passer. Dedans, il y avait un monde fou, la musique était à fond et les danseuses/serveuses étaient superbes. Au niveau de l’espace vip, il n’y avait que de grandes personnalités entrain de papoter affaires ou je ne sais quoi, tout en pelotant allégrement des serveuses, voire même quelques-unes de nos gloires montantes qui se laissaient faire dans l’espoir de gagner leurs faveurs. Un point de vue extérieur bien marrant quand on savait que j’aurai pu être assis entre eux pour faire exactement pareil.

Puis je la vis enfin. Terrence, je veux dire. Dans un coin reculé de la discothèque qui permettait une vue d’ensemble. J’eus alors un sourire carnassier avant de me faufiler entre tous les noceurs qui chauffaient la piste de danse. Je contournai habilement l’emplacement où elle fut, puis m’avançai discrètement derrière son dos pour mieux miser sur la surprise. Là, je me lovai amoureusement contre elle, tout en assurant une très bonne posture qui ne lui permettrait pas de me filer un quelconque coup venu de nulle part. Avec une meuf comme ça, fallait sérieusement faire gaffe ! « Petite lâcheuse. Tu me dois encore dix minutes, tu sais. » L’intonation de ma voix fiévreuse et le contenu salace de ma phrase avaient dû lui mettre la puce à l’oreille. Mon pénis qui s’écrasait allègrement contre son gros cul également, tiens.

- « Tu vas devoir veiller sur ton patron tu sais. J’ai aucun garde-corps avec moi, malheureusement. D’ailleurs, ne fais rien de con, viens avec moi… »


Cette fois-là, ce fut avec une force non feinte que je la trainai jusqu’aux abords des toilettes. Un endroit moins glamour que mon bureau, vous en conviendrez. Une fois à quelques pas des chiottes d’où on entendait déjà des gémissements explicites, j’eus un fou rire. Même pas un jour d’existence et déjà souillée bien comme il faut. En rentrant à l’intérieur, presque personne. Juste quelques filles qui se maquillaient devant des miroirs et un couple qui s’envoyait en l’air dans un box. En parlant de ça, je poussai la jeune blonde dans l’une des cabines que je refermai tranquillement derrière nous. Là, plus aucune échappatoire. Du coup, moi, je me suis mis à déballer tout le bataclan, à faire sortir cette énorme verge digne d’un pornographe, avant de fouiller ma poche droite et d’en sortir une capote gout fraise que je lui tendis.

- « Mes dix minutes, tu les rembourses ici et maintenant, chérie. Si tu croyais que j’allais lâcher l’affaire, c’est juste raté ! »

J’allais pas la sauter là, non. Par contre, lui faire comprendre que repousser l’inéluctable était vain, était une option sacrément alléchante.
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyVen 6 Fév - 18:14

Je ne l'avais pas reconnu, mais je l'avais senti venir. Sinon, j'aurais été une pitoyable chef de la sécurité. Je l'avais bien entendu pris pour un de ses gars bien lourd, ne sachant faire d'aucune finesse. Ce en quoi je n'avais pas tort. Angel Hernández ne faisait pas dans le délicat. Et il n'en fut pas autrement quand il m'aborda. Une bonne chance qu'il eût pensé à me bloquer, car sinon, il était à terre, et pas près de se relever. Mes protestations furent coupées par un hoquet quand je le reconnus. Sa voix, cette manière de vous tripoter direct. Et dans la lignée, ce kidnapping indécent vers les WC.

Les bras croisés, ma tête des mauvais jours clairement affichée sur mon visage, je lui dédiai une œillade meurtrière. Si j'avais beau, son préservatif aurait pris feu par effet de combustion spontanée.
- « Non. » ça avait le mérite d'être limpide. « Vous pouvez me virer, vous pouvez m'empêcher de trouver du boulot dans la ville, et je m'en fous. Je refuse catégoriquement de me faire sauter par vous, et encore moins dans ces conditions. Si vous aviez jamais eu la moindre chance que je sois d'accord pour quelque chose avec vous, vous l'avez balancé aux orties à l'instant. Après, je ne vous dois absolument rien, dix ou vingt ou trente minutes. Et je ne suis pas votre garde du corps, mais celle de SSS. Si vous voulez que je vous protège, il faut que vous soyez en train de bosser. Ce que vous faites hors de votre temps de travail, ça ne me regarde pas. Donc, vous allez vous asseoir dans le carré VIP, ou vous me laissez tranquille. J'ai des filles et des petits gars à surveiller, à moins que vous ne préfériez que votre acteur le plus rentable finisse éclater dans l'allée arrière, le nez plein de coke et le cul plein d'autres choses. »

Oh j'étais en colère. Très en colère. Si ce n'était pas pour la réputation du SSS, je l'aurais déjà attaqué, le projetant hors de la cabine, obligeant la sécurité du club à intervenir. A vrai dire, s'il ne me laissait pas partir immédiatement, c'était ce que je ferai, parce que quitte à être virée, autant l'être tout de suite, et en plus me faire plaisir en lui défonçant sa tronche d'obsédé patenté.
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptySam 7 Fév - 4:16


- « Pourquoi… ? »

Je ne comprenais pas du tout. Je n’arrivais pas à capter pourquoi elle refusait, très franchement. Mes yeux grands ouverts traduisaient bien mon étonnement, ma surprise. Parce que c’était bien la première fois que je me prenais un tel râteau. Mon physique avait toujours fait des ravages. Quand il ne suffisait pas, j’utilisais sans vergognes ma position, ma renommée, à tel point qu’aucune femme ne me résistait jamais. Pourtant, là, c’était bien la première fois que je me heurtais à un tel mur, à une telle opposition. Si bien que j’étais pantois devant la jeune femme qui était à deux doigts de vouloir me tuer. Ce n’était pas comme si elle le pouvait d’ailleurs, mais un coup dans mes couilles et elle avait bien vite l’avantage. En parlant de couilles d’ailleurs, ma pine était redevenue toute molle, si bien que je la rangeai lentement dans mon pantalon, avant de refermer ma bouche, pour l’ouvrir à nouveau…

- « Ce n’est pas seulement te renvoyer ou faire en sorte que tu ne trouves plus de boulot… Je pourrais te tuer… Ou faire tuer un à un les membres de ta famille tu sais… ? Alors pourquoi ? »


C’est en toute sincérité que je lui avais balancé une telle phrase. Et j’en étais capable. Après tout, qu’est-ce qu’un mafieux ne pouvait pas se permettre, même dans ce pays ? Elle n’était après tout qu’une fourmi. Une fourmi que je pouvais écrabouiller à tout moment, à tout instant. Mais je n’arrivais toujours pas à comprendre comment elle arrivait à me résister et à paraitre aussi révoltée, malgré tous les risques qu’elle encourrait. Une fois ma bite et la capote rangées, je passai une main sur sa joue pour la caresser d’un air hébété. J’étais comme un gosse. Un pourri gâté à qui on venait de refuser sa friandise. Une première depuis des années. Pourtant, je sentis mon cœur battre fort, s’emballer. Aucune femme n’avait cette aura que Terry dégageait aujourd’hui. Une employée puissante, forte et belle. La totale. Aussi avais-je fini par sourire. C’était plus son cul seulement que je voulais. C’était elle toute entière…

- « Tu deviendras mienne, je peux te l’assurer… »


Sur ces mots, j’ouvris la porte de la cabine et sortit de là. J’aurai pu m’arrêter m’installer tranquillement entre les dirigeants, mais comme je l’avais déjà signifié, cette fête ne m’intéressait pas du tout. Je ne voulais pas profiter d’elle devant ce monde. En fait, je ne voulais même pas la partager. Une fois dehors, j’ordonnai à mes hommes de réunir toutes les informations possibles sur cette femme. Où elle habitait, ce qu’elle mangeait, ce qu’elle faisait hors du travail, qui était de sa famille etc… Je voulais son con, son cul, son cœur, son âme, tout, absolument tout ! Elle allait dorénavant avoir des stalkers collés au train. Une lady de ce genre ne se trouvait pas à tout coin de rue. A tout coin de rue, c’était des prostituées, des petites putes bien paumées que je prenais plaisir à baiser sans plus. Mais elle… Terrence, valait bien mieux qu’un coup de soir. Cette nuit dans cette boite n’était donc pas un échec…

Mais les prémices d’une formidable conquête.
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyDim 8 Fév - 17:17



Si la situation n'avait pas été aussi dramatique, je crois que j'aurais éclaté de rire. Pourquoi, me demandait-il ? Pourquoi, OSAIT-il me demander ? Je ne savais pas ce qui me rendait le plus folle furieuse dans tout ça : son comportement, ou le fait qu'il ne comprenait pas à quel point son comportement était avilissant. Serrant les dents pour m'empêcher de commettre l'irréparable, j'affrontai cet homme qui pouvait me détruire. Et qui ne me manqua pas de me le rappeler.

- « Pourquoi je ne veux pas coucher avec toi ? Parce que je ne suis pas celle qu'on saute à la va-vite dans les chiottes ou même dans son bureau. J'ai un minimum d'amour-propre, vois-tu ? Je ne suis pas juste un bout de chair, une poupée gonflable qui n'existe sur terre que pour satisfaire ton plaisir, quand bon te semble. J'ai des sentiments, j'ai... j'ai une âme, bordel. Et le fait que tu n'hésites pas à me dire que si je ne couche pas avec toi, tu me fais tuer, ou tu t'en prends à ma famille, ça prouve bien que tu te fous complètement de moi. »
J'avais complètement oublié que j'étais dans les toilettes d'une boite, avec une bande de pétasses qui devaient forcément en profiter. Le couple qui s'envoyait en l'air à côté de nous s'était arrêté, et je ne voulais pas savoir pourquoi.

- « J'te parle pas d'amour avec le grand « A ». Je ne fais pas dans l'amour. Je ne suis jamais tombée amoureuse et à mon avis, ça n'arrivera jamais. Pas avec mon métier, et encore moins avec la branche d'activité de notre boite. » C'est sur, le X, et voir des filles et des mecs se faire enfiler dans toutes les positions possibles, à longueur de journées, comme tue-l'amour, il n'y a pas mieux. « Je sais aussi qu'un jour où l'autre, je devrais passer à la casserole. Et ça ne m'enchante pas, parce que pour moi, faire l'amour, ça mérite un peu plus que juste un attrait physique. J'sais pas, une certaine connexion. Une certaine confiance en l'autre. Là ? Confiance en toi ? Mais tu rêves ? Tu me menaces, tu me pousses et tu me trimballes, sans savoir ce que j'en pense !! Tu penses que je trouve ça flatteur ? Tu penses que ça me fait mouiller ou autre ? » J'en devenais vulgaire. J'en redevenais la petite rebelle des arrières-cours de Los Angeles, voire même la gamine au cul terreux d'Iowa. « Tu penses que je joues ma bêcheuse mais qu'au bout du compte, si tu me la mets, je vais finir par aimer ça ? Mais en gros, c'est quoi, la différence entre moi et une prostituée ? En plus, je ne serais même pas payée ! Donc, je vaux moins à tes yeux qu'une catin prise sur un trottoir ? Et tu te demandes pourquoi ? »

J'essuyais les larmes qui avaient fini par couler. C'était presque du harcèlement moral, cette question.
- « Tu veux que je couche avec toi ? Commence un peu par me respecter. Juste ça. Je ne demande rien. Me considérer comme une personne avec une intégrité. Donne-moi envie de m'envoyer en l'air, juste baiser avec toi, autrement que parce que c'est une obligation, sinon tu tues mon abruti de père. Comporte-toi comme un être humain, merde ! Moi, je n'ai jamais rien demandé à personne, et je m'en fous complètement de savoir si tu es riche, ou puissant ou autre. Ce n'était pas comme si ma vie allait changer après m'être faite grimper dessus. Mais si ta vision des choses, c'est le choix entre « me faire trinquer et puis me faire traiter comme de la merde » et « me faire traiter comme de la merde direct », autant m'éviter le passage en mode étoile de mer poulpe agonisant sur ton bureau. J'suis qu'une employée de sécurité, mais le peu que je suis, j'vais pas le brader. Et encore moins quand je bosse dans la sécurité. Faut de la volonté pour ce boulot. Je serais une très mauvaise garde du corps si je me bradais comme ça. T'aurais confiance en moi, tu respecterais mes ordres si j'étais une fille facile ? J'crois pas non. Je demande juste un peu de respect. »

La conversation s'arrêta là. Il partit, je finis la soirée en ramassant mes ouailles avant que le pire n'arrivât, et je continuais mon train-train quotidien. Je mis un certain nombre de jours à réaliser que j'étais suivie H24. C'était des bons. Et les menaces d'Angel n'étaient pas pour me rassurer. Dans ma tête, ça y était, j'allais me faire flinguer, ou recevoir l'oreille d'un de mes frères un de ses quatre matins. Pourtant, il ne se passa rien, et c'était encore plus stressant. Je m'appliquai dans mon boulot, et dehors, à faire comme si de rien n'était. Ce qui voulait dire que mes private stlaker se faisaient bien chier, car ma vie n'avait rien d'excitant. Absolument rien. Je vivais seule, sans mec, sans chien. A peine un aquarium et une plante verte nommée Bob. Mes amies de lycée étaient toutes à des milles de moi, moi qui avais choisi la carrière de catcheuse et ses dérives. Je revoyais mes copines du catch, justement, de temps à autre, mais elles, elles avaient su prendre le train en marche, et leur popularité n'était pas forcément compatible avec mes activités. Bref, j'étais quelqu'un de terriblement ordinaire.
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyMar 17 Fév - 16:45


C’était définitif. Je désirais faire de Terrence mon épouse, ma moitié ! Après les différents rapports de mes hommes, j’étais irrémédiablement tombé sous son charme. Cette femme, je la voulais, il me la fallait, parce que j’étais sûr que je pouvais aller loin avec elle. D’ailleurs, son côté farouche et indépendant me faisait parfois penser à la mère d’Angela qui m’avait bluffé de la même manière dans le temps. Pis, elle était encore jeune, toute fraiche, de quoi raffermir mes ambitions… Mes sentiments, même ! Mais après toutes les conneries que j’avais faites, il était clair que je devais tout mettre en œuvre pour avoir son pardon, avant de penser à la courtiser en bonne et due forme. Et pour mettre mon plan à exécution, j’eus une brillante idée qui me paraissait imparable de mon point de vue !

Des cadeaux, des cadeaux et encore des cadeaux. Durant les jours qui suivirent mon enquête personnelle, je lui avais envoyé toutes sortes de cadeaux. Des fleurs avec des tournures de phrases éprouvées, des bijoux, du chocolat, du matériel informatique, des produits hi-tech et même une voiture dernier cri. Démesuré ? Peut-être. M’enfin, pour un richard comme moi, tout ça, c’était presque rien, d’autant plus que je le faisais avec bon cœur et beaucoup d’envie. Parallèlement et malheureusement, j’avais un travail monstre. Avec la maladie très grave de Jake, j’avais fini par prendre la tête de SSS, ce qui m’obligeait à travailler « sérieusement » pour maintenir la compagnie à flots. Je me retrouvai souvent entre deux avions sans pouvoir la voir en tête-à-tête. Parce qu’en plus de gérer SSS, il me fallait aussi surveiller ma mafia.

Après tout, nul n’est censé ignorer que les coups de putes sont légions au sein de la pègre. Un renversement est si vite arrivé…

Un mois plus tard, c’était mon anniversaire. L’occasion de souffler, enfin ! Le soir de ce fameux anniversaire, il y avait masse d’invités. De quoi m’ennuyer ferme. J’étais peut-être tape à l’œil, arrogant, salopard et tout ce que vous voulez… Mais je savais que tous ces gens n’étaient qu’une bande d’hypocrites. Le monde des affaires était ainsi… Le monde souterrain également. Du coup, toutes les personnes venues me témoigner leur affection et tout, c’était que du vent. Si jamais je tombais, si jamais je finissais ruiné, personne ne me viendrait en aide… Personne. Une triste réalité à laquelle je me suis habitué tout le long de mon ascension et qui traduisait à quel point je n’avais aucun ami/partenaire fiable dans mon entourage. Les hommes me tournaient autour pour fructifier leurs chiffres d’affaires. Les femmes pour mon argent et ma bite.

Bref ! Toujours est-il que c’est avec un sourire et une joie factices que je me promenais entre mes invités pour les saluer, jusqu’à ce qu’on amène enfin le gâteau, que je souffle mes bougies et que la fête continue de plus belle. Une pure mascarade, je vous jure. Réellement embêté, je finis par m’isoler carrément sur une terrasse, à l’étage. Cigare à la bouche et bouteille de champagne dans la main droite, je m’étais tout bonnement allongé sur un transat et j’observais le ciel d’un air rêveur. N’eut été ma fille qui avait vraiment tenu à organiser cette soirée, je ne l’aurais jamais fait moi-même. Ou pire encore ! J’aurai renvoyé ces gens comme des malpropres à un moment donné. Mais que pouvais-je refuser à la chair de ma chair ? Pratiquement rien. Ce qui expliquait pourquoi je me faisais tant chier sans pouvoir rien faire…
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyMer 18 Fév - 18:43


Je ne comprenais pas. Quelque fut la logique dans le cerveau d'Angel Hernández, je n'en étais pas adepte. Après notre dernier « échange », j'avais vécu dans la peur de me prendre un mauvais coup ou une balle dans le dos, et dès que mon téléphone sonnait, j'étais à moitié persuadée qu'on m'appelait pour m'apprendre la disparition ou la mort d'un membre de ma très étrange famille de ploucs. Mais en fait, rien ne se passa pendant deux-trois jours, avant que les cadeaux ne se mirent à pleuvoir.
Je pourrais faire ma bêcheuse et dire qu'on n'achetait pas mon affection comme ça. Sauf que j'étais vénale. Pas suffisamment pour accepter de me brader auprès du premier venu, mais carrément pour ce genre de gestes. C'était bien pour ça que j'avais aspiré à une vie de catcheuse professionnelle et que je ne rechignais pas à bosser dans le X – bien que de l'autre côté des caméras : pour le côté bling-bling. J'aimais les belles choses, généralement tout ce que je ne pouvais pas me payer.
Une chose me titillait, cependant. Est-ce que ces cadeaux étaient la preuve que mon patron avait évalué ma personne à sa juste valeur, ou pensait-il juste me graisser la patte ? Il n'était pas en-dessus de ce genre de méthode, et je n'avais pas envie qu'il pensât qu'il n'avait fallu que quelques « babioles » pour me faire jeter aux orties mon orgueil. Il n'aurait pas tort, mais c'était ça qui me chagrinait. Je ne voulais pas lui donner raison. J'étais obstinée dans mon genre.

Pourtant, j'étais prête à concéder la première manche. Le jour de son anniversaire, je pris donc la décision de le lui faire savoir. Parmi les nombreux cadeaux qui avaient envahi ma maison, il y avait eu quelques paires de chaussures et des robes de cocktail, que je ne pensais jamais ne mettre. Comme quoi. A la différence de pour la soirée au Paradiso, je pris un soin particulier à me coiffer et à me maquiller, avant d'enfiler une paire de talons-aiguilles qui signifiaient mon arrêt de mort si les choses devaient mal tourner. Allez courir avec ça ! Au pire des cas, me dis-je pour me consoler, je pourrais les utiliser comme arme. Kim Basinger avait bien tué avec un pic à glace dans Basic Instinct. A mon avis, mon talon pouvait facilement perforer un œil.

La soirée battait son plein. J'avais été étonnée que le boss organisât ça chez lui. Généralement, on faisait ce genre de sauterie Corporate dans un grand hôtel, ou dans un house club. Une erreur de débutante qu'on devait à sa fille. Je n'avais pas encore rencontré Angela – et je ne voyais pas pourquoi je le devrais – mais elle avait intérêt à apprendre rapidement ses leçons, si elle voulait continuer à jouer dans la cour des grands.
Étant donné que je n'étais pas une invitée comme les autres, je pus me faire introduire dans le saint des saints : la partie exclusivement privée de la maison, gardée par les hommes de confiance du mafioso.
Les lieux étaient déserts : les serviteurs étaient occupés aux cuisines et à la réception, et Angela était l'hôtesse du moment, donc accaparée par ces mondanités. Ainsi, mes talons résonnaient sur les marches qui montaient vers la terrasse, m'annonçant mieux que si j'avais passé un coup de fil ou appuyer sur la sonnette.
Je le retrouvai allongé sur un transat, profitant de la douceur de cette nuit. Ce n'était pas la Californie, mais en été, les températures étaient plus qu'agréables. Heureusement, parce que sinon, je serai en train de me peler le cul, vu le peu que je portais. Entrant dans son champ de vision, je me présentai à lui, sans un mot. Je le laissai m'examiner, et je tournai sur moi-même pour montrer toutes les facettes de son cadeau.
- « Je vous remercie pour vos attentions, » lui dis-je en avançant vers lui, « … mais je me vois obligée de refuser la voiture. Bien trop luxueuse et trop difficile à garer. Une moto serait bien mieux. » Je lui tendis les clés de la voiture, sans oser avouer qu'en fait, je pouvais difficilement payer les traites de l'assurance avec mon salaire. Par contre, j'avais gardé le reste, y compris la belle paire de pendants en or que je portais actuellement.

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Je m'assis à ses côtés, sur le bord du transat. Ça ne me laissait pas beaucoup de place, mais c'était assez pour poser la fesse dont j'avais besoin pour me caler. Là, je croisais les jambes, lui dévoilant volontairement un peu plus de chair qu'il ne le faudrait. Quand je concédais, ben, je concédais.
- « J'estime que vous vous êtes suffisamment excusé. » Hé oui, c'était ainsi que j'avais décidé de le jouer. Toutes ses largesses, ce n'était pas des cadeaux de séduction, mais des cadeaux d'excuses. « J'accepte donc de considérer votre intérêt comme... convenable. » En d'autres temps plus anciens, je lui aurais dit « vous avez le droit de me faire la cour. » Sauf qu'on était en 2014, et que ni Angel ni moi ne faisions la cour à qui que ce fut. Non, il était question de baise, et oui, je venais d'annoncer que je n'étais plus contre qu'il devint mon amant. Et non pas le contraire, merci beaucoup. « Mes règles du jeu sont simples : nous n'attendons rien l'un de l'autre. Ce qui est donné, est donné librement. Aucune expectative derrière, aucun calcul derrière. C'est uniquement vous et moi et une relation d'adultes consentants. Aussi je n'espère pas d'autres gestes de votre part qu'un peu de cette même considération dont vous avez fait preuve ces derniers temps. »

Je ne voulais pas qu'il continuât ses démonstrations d'affection s'il pensait qu'il n'y avait que ça pour me faire ouvrir les jambes. Par contre, je ne disais pas non à une attention ici et là, un truc qu'il aurait acheté sur le moment en pensait juste « tiens, ça plaira à Terry » ou « ça ira bien à Terry ». Et s'il ne pensait pas à moi, très bien, ça m'allait aussi. Il ne fallait pas que je me fisse prendre à mon propre jeu, et que je commençasse à attendre de lui quelque chose. Pas de sentiment, pas même une sincère affection. Il restait un de mes « clients » à protéger.
- « Tout ça pour dire... Joyeux anniversaire, patron. » Et c'était ça, mon cadeau : je lui offrais la baissée du pont-levis. A lui maintenant de faire débarquer ses chevaliers et ses ménestrels et je ne savais quoi encore.
Je me levai pour prendre congés, parce que je voyais bien qu'il voulait être seul. Et je n'allais pas l'emmerder alors qu'il était tranquille dans son coin, avec son cigare qui puait et sa bouteille de champagne qui devait valoir plus que tout ce que mon appart pouvait contenir – les cadeaux d'Angel en moins.
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyDim 22 Fév - 12:20


Lorsqu’elle se releva après m’avoir fait comprendre qu’elle était prête à satisfaire mes désirs, je n’avais plus qu’une chose en tête : La baiser, la baiser, la baiser. Ça tournait en boucle dans mon cerveau, à un tel point que je me levai à mon tour, comme un automate. Le cigare et la bouteille de champagne ? Derrière moi. Seul son cul, que j’avais en visuel d’ailleurs, comptait vraiment dorénavant. Mon froc se tendit comme à l’accoutumée au fur et à mesure que je bandais comme un turc. J’avais balayé les sentiments que j’avais pour elle de façon temporaire. C’était pas du tout le moment de penser amourette. Surtout pas. Aussi avais-je foncé sur elle, avant de me lover contre son dos, sans dire un mot. Si c’était pas un beau cadeau d’anniversaire qu’elle me faisait là… Incontestablement le plus beau en fait. De quoi me faire sourire comme un gros pervers. Du coup, je nichai ma tête vers une partie de son cou que je me mis à dégommer de bisous. Ah merde… Je puais vraiment l’alcool et le cigarillo. Surement que l’odeur l’incommoderait. Mais j’étais tellement d’humeur grivoise que m’arrêter en si bon chemin me frustrerait…

- « Viens prendre un bain avec moi… »


Ma voix était déjà rauque, sourde. C’était même plus un désir maintenant. Ça se transformait carrément en un besoin. Elle allait être mienne toute la soirée jusqu’au petit matin. Mais il me fallait me débarrasser de cette odeur, tout d’abord. C’est dans cette optique que je pénétrai mes quartiers tout en me déshabillant en route. J’espérais qu’elle fasse de même et me rejoigne. Elle était peut-être open maintenant, mais elle pouvait me sortir le fait qu’elle était en plein travail et qu’elle ne pouvait pas se permettre de se baigner avec moi à l'heure actuelle. Bon, faut dire aussi que je n'avais pas attendu sa réponse, puisqu'en deux trois mouvements, je m’étais débarrassé de mon costume avant de pénétrer la grande salle de bain de ma chambre. Là, je pris un bain de bouche en remplissant la gigantesque baignoire. Le tout était d’y aller doucement, de ne pas sauter sur elle comme si elle était un vulgaire morceau de viande. Les souvenirs du bureau et des toilettes de la boite de nuit me revenaient parfois en tête. Faire trois fois la même erreur serait un peu con de ma part. Une fois ma bouche toute propre et tout, je me glissai aussitôt dans la baignoire pleine.

C’était légèrement tiède, presque froid quoi. Mais c’était bon. Et très relaxant. Le cadre idéal pour débuter nos galipettes.
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyLun 23 Fév - 20:20


Je déglutis. J'avais espéré quelque part bénéficier d'encore un peu de temps avant de devoir rendre les armes, mais Angel était bel et bien du genre à foncer dès qu'une occasion se présentait. Je n'avais qu'à m'en prendre à moi-même, à avoir fait ce genre de déclaration à cet endroit là. Quelque part, peut-être que j'avais espéré qu'il sautât sur l'occasion : une fois que c'était fait, ben, c'était fait. L'un dans l'autre, il n'y avait pas à tortiller du cul : je sentais son érection contre moi, et il ne me laissa pas filer. C'était presque agréable, de savoir qu'il me voulait à ce point. Je n'étais pas crédule à penser qu'il me désirait moi. Je me doutais que mes refus avaient piqué son intérêt et que j'étais devenue une proie de choix, celle qu'il voulait désormais afficher à son tableau de chasse. Angel était un salaud, ne l'oublions pas ; s'il lui arrivait d'avoir des bons côtés, je ne pouvais pas savoir exactement quand c'était.
Je me raccrochais au fait qu'il ne m'avait pas vulgairement prise sur le champ, là, maintenant. Il me traitait avec un peu de délicatesse, et c'était tout ce que je désirais. C'était suffisant pour apaiser ce qu'il me restait de conscience, de telle sorte que je n'avais pas l'impression de me vendre. C'était un coup du soir, juste ça. J'avais réussi à faire passer le « droit de cuissage sans aucune considération hormis le fait d'être un minimum jolie » (et tant pis si on était bête comme ses pieds ou une vraie pourriture), à « coup d'un soir qui n'allait pas être forcément désagréable et surtout, n'avoir aucune conséquence après ça. » Je m'attendais vraiment à ce qu'Angel m'oubliât complètement une fois sa curiosité et son désir de me posséder satisfait. Surtout qu'il n'allait pas manquer de me trouver chiante au lit. Bah, je n'étais pas actrice porno, moi. Je n'étais pas délurée. En comparaison des filles qui passaient chez lui, j'allais forcément être bien fade.

Hésitante, je le suivis dans sa salle de bain. La pièce faisait plus ou moins la taille de mon salon-cuisine, et même plus. Sa baignoire tenait presque plus d'une piscine intérieure. Malgré moi, j'ouvris des grands yeux éberlués. Ce genre du luxe, je ne l'avais jamais approché quand j'étais dans le catch. Et aucun des acteurs que j'avais eu à « accompagner » n'avait eu droit à ce genre de chambre d'hôtel. D'accord, ça pouvait devenir marrant.
- « Je veux des bulles ! » ordonnai-je avec une moue exigente. Un bain sans bulle, c'est nul. Mais j'hésitai. Je ne m'étais pas taper tout mon boulot de maquillage pour le voir se faire ruiner en deux secondes. Pareil pour mes cheveux. Et je ne pensais pas qu'Angel avait du démaquillant à disposition, pas plus qu'il apprécierait de me voir avec des yeux de pandas au mascara coulant. « Et pas d'eau sur le visage, sinon ça va être moche. » Je le prévins en posant mon cul sur une banquette, pour enlever les chaussures sans me casser la tronche. Je déposai mon sac et mes pendants d'oreilles, avant de prendre une grande respiration, et d'enlever ma robe. Je sentais ses yeux sur moi, et franchement, je me rendais compte qu'il me rendait nerveuse, comme une ado en train de se faire dépuceler. Faut dire que cette soirée avait été loin d'être mémorable. A se demander comment est-ce qu'après tant de temps, la littérature de gare pouvait encore balader les clichés de la « première fois ». Prestement, je me débarrassais de mon string pour venir me glisser dans l'eau, profitant des bulles – qu'Angel avait bien voulu m'accorder - pour dissimuler mon embarras. J'avais relevé du mieux que je pouvais mes cheveux et le reste, c'était dans les mains de Dieu ou autre connard divin.
- « Purée, c'est froid ! » Je frissonnai, sentant mes tétons se durcir avec la température. Pour le moment, j'étais à l'opposé de mon futur amant, en tête à tête. J'avais imaginé l'espace d'un instant me poser à côté de lui, voir même sur lui, mais ce n'était pas mon genre. Je n'étais pas timide mais je n'étais pas celle qui prenait souvent des initiatives. Et encore moins au premier « rendez-vous ». Du coup, je me laissais aller, coulant au fond de la baignoire, la nuque retenue par le bord du bassin, bercée par le glouglou de l'eau, attendant un peu ses directives, pour savoir comment le reste de la soirée allait se jouer.
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyMar 24 Fév - 19:52


Durant les minutes où elle se déshabillait enfin, je n’avais d’yeux que pour une seule chose : Son cul. Elle était déjà belle hein et j’avais eu l’occasion de voir son beau minois à maintes reprises, mais sur le coup, juste woaw. J’étais comme un gros gamin à qui on donnait un nouveau cadeau, chaque fois que j’avais la chance de voir des fesses aussi fermes et lourdes chalouper sous mon regard. C’est juste divin. Cette vision me donnait d’ailleurs plusieurs raisons de haïr les spots publicitaires qui prônaient la minceur, ce genre de conneries. Lorsqu’elle plongea dans le bain, à l’opposé de moi, j’eus un soupir de dépit. Jusqu’au bout, cette meuf allait me languir… Dire que je bandais comme un cheval, d’ailleurs…

- « Eh bien… »

Ne rien dire de con. Ne rien dire tout court. Maintenant que j’avais l’occasion de la sauter, autant foncer sans trop de cérémonies et tout. Ce que je fis d’ailleurs. Je glissai habilement dans la baignoire de ma position, jusqu’à la sienne pour me plaquer contre son corps, entre ses cuisses. Contre son ventre, elle pouvait sentir ma grosse teub toute palpitante et toute brulante. Ma bite était tellement gorgée de sang qu’une douleur sourde irradiait mon bas ventre. Mon souffle était chaud, un peu précipité. Franchement, rien ne m’empêchait de l’embrocher sur le champ histoire d’apaiser cette tension sexuelle qui me tuait à petit feu. Mais vu la gamine, il valait mieux prendre son temps, encore.

Alors, sans un mot, je passai mes bras musclés de chaque côté de ses cuisses et les prolongeai jusqu’au fond de la baignoire de sorte à glisser -un peu difficilement quand même-, mes paluches sous son gros cul. Je me levai lentement, la soulevai par les fesses comme un vulgaire fétu de paille, avant de pivoter sur moi-même pour me rasseoir à sa place. Je fis en sorte de la poser à califourchon sur moi, avant de la ceinturer contre moi à l’aide de mes bras. Rien de mieux qu’une telle position pour débuter, d’autant plus qu’elle gagnait un peu de hauteur. Moins de risques pour sa chevelure et son visage donc. J’eus un léger sourire, avant de plaquer mes lèvres contre les siennes, sans crier gare, pour lui rouler une grosse pelle.

Pendant que je l’embrassais, je passai délicatement mes mains sur ses fesses. Ses grosses fesses. Sa croupe saillante et bien rebondie qui m’obsédait, me rendait fou ! La mousse aidant, je commençai à les caresser maladivement et à les soupeser parfois comme pour rigoler. Je les faisais ballotter, rebondir sur moi et je m’avançais même à les pincer parfois et à leur administrer de petites tapes. Elle pouvait me mener par le bout du nez rien qu’en se trémoussant ou en secouant ses fesses devant moi. D’ailleurs, je l’imaginais encore dans son string que j’avais vu auparavant et ce fantasme me fit durcir plus que je ne l’étais déjà. Ses gros seins comprimés contre mon torse n’arrangeaient rien à l’affaire.

Terrence était superbe sous toutes ses coutures…

En rompant le long baiser que je lui avais administré, j’étais maintenant sûr de moi. Je voulais qu’elle devienne mienne. Mais l’heure n’était pas propice à ces pensées. Habilement donc, je glissai ma main droite le long de sa raie, comme si je la nettoyais à cet endroit. Je m’arrêtai à son anus donc je caressai le muscle pendant un bon moment, avant de redescendre lentement, avec douceur vers le sésame : Son vagin. Sans fioritures, je me mis à caresser sa vulve que je frottais sur toute la longueur. Mon autre main se joignit à la partie et se concentra sur le clitoris qu’elle se mit à caresser. Avec habileté, je dépiautai son petit bout d’amour avant de commencer lui aussi à le frotter puis à le pincer entre mes doigts.

Sauf qu’après cinq minutes à la tripoter, la caresser et la doigter farouchement…

- « J’ai envie de toi, je tiens plus… »

Ma voix rauque, enrouée par le plaisir était la preuve même que je tenais vraiment plus. Je finis par écarter ses fesses d’une main avant de prendre mon pénis par l’autre. Délicatement, je dirigeai le gland sur son vagin et lorsqu’un contact s’établit entre nos sexes, je poussai légèrement mon phallus vers le haut. Mon gland, gros comme un poing, n’eut pourtant pas de difficulté à se loger dans la fente de son minou. Lâchant alors la base de mon bâton de chair, je posai alors mes mains sur son arrière-train et m’amusai à lui donner un coup de rein de brute. En un seul mouvement et en un instant, le mandrin se logea complètement dans sa chatte qui l’avait englouti jusqu’à la base. De quoi m’arracher un gros râle de plaisir !

- « Ooooh putain !!! »


Je rejetai ma nuque en arrière, tout en la serrant contre moi. La force de bouger, je ne l’avais pas. Pas encore. Mais ça viendrait.
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyMar 3 Mar - 19:02


Son regard sur moi. J'étais partagée entre la honte, la timidité et la fierté. Il me détaillait, toujours un peu comme un corps sans âme, mais je voyais qu'il appréciait. Certes, c'était purement physique, mais je n'étais du genre hypocrite à ne pas aimer un compliment sincèrement donné. C'était peut-être ça, le problème : Angel était d'une sincérité brute. Il voulait un rapport charnel, sans enjolivement. Il ne mentait pas, il voulait juste du sexe. Mais il avait oublié que « juste le sexe » pour être bon, devait partir d'une certaine intimité partagée, et que pour la plupart des gens, il n'était pas naturel de se sauter dessus comme ça. Ça fait primitif, bestial. Pervers. Ce que j'avais pensé.
Sauf que sous ce regard, c'était difficile de ne pas se sentir belle, appréciée, désirée et ce fut primitivement, bestialement, que mon corps réagit. Une chaleur nouvelle naquit dans mon ventre et se répandit jusqu'à mon entrejambe. Je sentis mon sexe se serrer en de petites convulsions rien qu'en le voyant s'avancer vers moi. Je frémis, avec un frisson le long de la colonne, quand il échangea nos positions et ce ne fut plus la peine de me mentir : il m'avait excitée. Sentir ses bras autour de moi, son pénis tendu contre ma peau. Il était loin de la brute qu'il m'avait déplacé d'un bout à l'autre de son bureau. Oh, il ne me traitait pas comme une fleur délicate – mon fessier pourrait en témoigner. Mais il y avait une sorte de tendresse dans ses gestes.

Son baiser vainquit mes dernières résistances. S'il s'avouait faible devant mon cul, moi, c'était ses baisers qui me faisaient perdre la tête. C'était à la fois une fureur de vie, un mâle dominant qui exerçait sa toute puissante sur moi, en prenant le contrôle de l'échange, manipulant ma langue à sa guise, mais aussi l'invitation à me prendre au jeu, un défi à dévoiler la tigresse en moi pour être la hauteur de sa prestation. Mes mains se glissèrent jusqu'à son cou, et je profitai de l'avantage procuré par ma position au-dessus de lui pour approfondir la galoche, imposer mon rythme. S'il se montrait trop gourmand, je n'hésitai pas à lui tirer les cheveux, à lui faire plier la nuque, pour signifier que non, c'était moi la maîtresse.
Quand il me caressait l'anus, je me figeai un peu, presque tremblante. Je n'étais pas sûre de vouloir commencer par ça. Bah, je n'étais même pas sûre de vouloir ça. La sodomie demande de la délicatesse, et bon, Angel Hernández n'est pas délicat. Et la taille de son pénis n'aidait pas à calmer mes appréhensions. Aussi fus-je soulagée de le voir revenir à mon vagin et aussitôt, je commençai à mouiller.

Au début, je me mordis les lèvres pour retenir mes soupirs mais au bout d'un moment, j'étais réduite à une masse de chair parcourue par des petites décharges électriques. Je sursautai presque à chacun de ses gestes. Le saligaud ! Il savait si prendre. A un moment donné, je me baissais pour venir mordiller son oreille, tandis que mes hanches commençaient à onduler toutes seules. Sa masturbation était à la fois très plaisante et extrêmement frustrante ! J'en voulais plus. Plus que ses doigts en moi, plus que cette sensation juste excitante. Je voulais planer. Il m'avait largement laissé entendre que les portes du paradis n'attendaient que moi.
Il craqua juste avant moi. Parfait, ça m'évitait d'avoir à le supplier. Bah, je l'aurais fait, de toutes les façons, mais je n'étais pas Terry pour rien, et toute petite victoire était à savourer.
- « Hum, hum. » fis-je d'un ton à la fois affirmatif et interrogatif à son oreille. Ma langue chafouine vint lécher le tour de l'helix, avant que je ne suçotasse le petit bout de chair qui pendait. J'étais, à peu de chose près, en train de faire une fellation à son lobe d'oreille.

Mais je perdis la main haute quand il me pénétra. Son coup de rein fut un peu douloureux, mais c'était une bonne douleur, comme lorsqu'on se gratte une piqûre jusqu'au sang. C'était la réponse à mes attentes, et beaucoup plus.
Instinctivement, je me projetai en avant, l'écraser son moi, mes seins se plaquant à son visage, tandis que j'empoignais le rebord de la baignoire derrière lui, pour me stabiliser. Mon corps tout entier se crispa et pulsa autour de son sexe, prenant en compte cette si délicieuse intrusion. A mon tour de gémir de plaisir – avec un zeste de douleur – le souffle court, les yeux momentanément aveuglés.
- « Hé bien, ça... »

Toujours aiguillée par cette sensation brute, je fus la première à me prendre. D'un coup – vive les abdos ! - je me redressai, droite au-dessus de lui, et même légèrement arquée en arrière, les mains de nouveau sur son coup, glissant sur son torse, dessinant les muscles et les cicatrices, pendant que mes hanches décrivaient de lents cercles autour du sexe dressé d'Angel, pour que mes parois se détendent et s'habituent, pour aussi prendre toute la mesure de ce pénis. Au bout d'un moment, je tentai de glisser un peu sur la longueur dure, pour savoir si « tout allait bien ». Oui, ça manquait encore un de fluidité, mais on pouvait commencer les choses sérieuses.
Sous moi, Angel trésaillit, et tout comme moi auparavant, laissa ses hanches trahirent ses envies. Mais il était hors de question que je me laissasse faire ! Cette fois, je me penchai un peu, pour poser mes mains sur sa taille, le « planquant » contre le sol de la baignoire. J'étais forte, plus forte que la majorité des femmes et s'il pouvait, vu sa taille et ses muscles, se défaire de moi, ça ne serait pas sans quelques difficiltés. A lui de comprendre qu'il avait intérêt à me laisser faire.
J'imprimai un rythme lascif, lent, à mes mouvements de reins, dégustant comme un met rare sa virilité. Mes mouvements n'avaient pas beaucoup d'amplitude : jamais il ne sortît de moi, pas plus que je ne le repris entièrement en moi. Pourtant, c'était amplement suffisant pour me tirer des soupirs profonds et des gémissements... ma foi, érotiques. Dignes des meilleures actrices X, Ce n'était pas ces hurlements de cochons qu'on égorge, ce n'était que du plaisir, mais cette fois, complètement sincère.
Le baiser que j'exigeai à ce moment d'Angel était aussi sensuel que sexuel. Il y avait un besoin impérieux, mais aucune hâte, et ce fut d'une humeur presque taquine que, au plus intense de notre baiser, je m’empalais presque sur son sexe, jusqu'à la base.
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MessageSujet: Re: La nouvelle promue ft. Terrence   La nouvelle promue ft. Terrence EmptyMer 4 Mar - 16:34


Tout de suite après, la voilà qui s’empalait tranquillement sur moi. J’eus un soupir de bien être en la sentant m’engloutir centimètre par centimètre d’elle-même. C’était vraiment bon bordel ! J’en perdais la tête au point de grogner comme un vulgaire clebs. Qu’est-ce qu’elle savait y faire ! Mais le plus intéressant survint quand elle se lova contre un peu contre mon torse et se mit à me chevaucher tout en immobilisant mes hanches et en ne bougeant que ses reins. Des sensations de malade ! Les yeux exorbités sur visage alors qu’elle dandinait sur ma grosse queue qui palpitait comme jamais, je finis par secouer ma tête dans tous les sens en faisait un effort pour ne pas crier et baver. Mon corps fut rapidement couvert de spasmes violents pour ne pas dire que je convulsais tout bonnement. Elle me rendait chèvre, elle me rendait fou et j’eus l’horrible impression que j’allais jouir avant l’heure, tellement c’était dément ! Le baiser qui suivit n’arrangea rien à mon état. Pour peu, j’aurai presque pensé qu’elle voulait en finir rapidement avec moi avec toute cette douceur, cette sensualité et ce savoir-faire indéniable qui ne laissaient pas indifférent.

- « Oh putain ! Putain ! Putain ! »

Fut tout ce que je pus répéter bêtement lorsque je rompis notre baiser. On aurait dit que je couchais une star porno, merde ! Ses fesses remontaient et redescendaient comme un cheval de manège et son vagin ne faisait que coulisser sur ma grosse bite qu’elle engloutissait maintenant sans peine. Maintenant que ses parois vaginales s’étaient bien distendues pour épouser la forme de mon phallus, ça coulissait à l’aise, sans aucun souci. Au fur et à mesure des secondes, je perdais la tête. Elle me possédait, me dominait, m’enivrait et moi, le grand Angel, je me laissais faire sans pour répliquer. Cette meuf, il me la fallait ! Parce que des perles comme elle, ça courait pas dans les rues… Mais pour le moment, je devais vite reprendre la main. C’était pas une question de domination, mais de besoin. Le début était voluptueux, mais bien insuffisant pour me faire planer. Il fallait bien plus à la bête que j’étais, d’autant plus que j’étais certain qu’elle pouvait maintenant encaisser gros sans avoir trop mal. Du coup, j’abandonnai son gros cul pour venir exercer une pression sur ses poignets histoire qu’elle lâche ma taille…

Sans broncher, je me mis enfin à bouger moi aussi mes hanches. Après quelques va-et-vient rapides, je m’amuser à onduler des reins, à essayer de décrire des mouvements circulaires de sorte à bien frotter sa chair, ses cloisons vaginales, en particulier ce fameux point G. Je m’amusai comme ça pendant deux ou trois minutes, avant de choper son fessier à pleines paumes pour me mettre à la bourrer sans attendre. Je m’enfonçai dans le visqueux avec force et volupté, le gland butant à chaque mouvement contre le fond de son gros con humide. Pendant que je l’enfournais jusqu’à l’os sous de gros coups rageurs, mes lèvres virent capturer les siennes pour un long baiser aussi fougueux que mes jeux de reins. Ça allait, ça revenait, ça butait le fond, ça raclait sa chair, ça tirait dessus, le tout sous des bruits de succions obscènes, écœurants et sous un clapotis terrible. Je bavais dans sa bouche, griffais ses fesses, plombais sa petite chatte qui n’avait aucun mal à m’engloutir et à encaisser mes multiples coups de butoirs qui lui défonçaient le col de l’utérus et pas qu'un peu d'ailleurs… Bestialité érotique que je ne pouvais malheureusement pas refouler.

A force d’être aussi violent, j’en vins à me demander si elle n’allait pas m’en vouloir. Après tout, il ne s’agissait que d’une gamine et il n’était pas dit qu’elle puisse encaisser une telle grosse bite avec autant de vigueur. Mais je n’arrivais pas à m’arrêter, parce que c’était bien trop bon. Ses lèvres intimes clapotaient dans l’eau sous mes mouvements, et ses parois se tordaient, s’écartelaient à force d’être ramonées avec autant de ferveur ! Passé les griffures, il m’arrivait même de lui claquer sauvagement une fesse, histoire de bien la faire rougir et de la marquer comme une vulgaire bête de foire… L’idée ici était de la rendre accro à mon sexe, à mon gros chibre qui lui bousillait les entrailles internes ; et ce à condition qu’elle aime. S’il s’avérait qu’elle vienne à détester ces ébats aussi fougueux que le nôtre, autant dire que j’étais mort de chez mort. Mais avec moi, c’était quitte ou double et même si elle n’aimait pas trop, j’osais croire avec tout ce qu’elle m’avait montré qu’il ne s’agissait pas d’une vierge effarouchée. Pas non plus de ma faute si elle demeurait super bonne avec un aussi gros derrière que mes couilles n’arrêtaient pas de fouetter sous mes impulsions.

- « Rhaaaaaaaaa, c’est bon ! C’est trop bon ! J’me sens plus ! »


Avec la douce chaleur de sa moule qui s’épanouissait autour de mon gland, j’étais devenu un idiot. Je pensais même plus. Je baisais juste. Et je baisais fort. D’ailleurs, je m’amusais à alterner salement nos mouvements. Soit je la défonçais moi-même sous des coups rageurs en l’embrochant à fond la caisse, soit je faisais moi-même coulisser sa voluptueuse croupe sur mon chibre qui n’en demandait pas tant ! Le bruit obscène de notre sulfureux coït, la violence de nos mouvements, notre baiser presque gluant… Tout était sale, abject, bestial même Halala… J’allais jouir ! J’allais juter, lui remplir le ventre, faire gicler mon foutre jusqu’à ses trompes…  Mais dans l’excitation et l’euphorie d’un orgasme prochain, mon gros pilon s’extirpa de son fourreau sous un coup de queue un peu trop violent. Alors, tranquillement, je passai une main sous ses cuisses, chopai ma teub, la réajustai à sa chatte à l’aveuglette, avant de l’empaler d’un coup sec. Et puis, là encore, je lâchai son popotin pour choper ses seins que je me mis à laper, lécher, mordiller puis bouffer comme un nourrisson vorace. Non sans bouger encore une fois les reins, on s’entend.
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