bonjour. (Angel)

Hôtesse d'Accueil Messages : 24 Date d'inscription : 28/12/2014

Une nouvelle vie. Aujourd'hui c'était une nouvelle vie qui commencer pour la petite Angie. Loin de sa ville de New-York, loin de sa chambre rose, loin de tous ses amis... Loin de sa mère qu'elle ne reverrait plus. Ca fait deux semaines déjà mais elle n'arrivait pas a s'en remettre... Ses amies c'étaient relayer auprès d'elle pour ne pas qu'elle reste seule dans l'appartement qu'elle partager avec sa mère, avant. Puis le moment venue elle leur avait fait ses adieux. Elle prenait l'avion, et une nouvelle vie s'ouvrait à elle, avec son père.

Elle pris l'avion vers l'état d'Arizona. elle passa plusieurs heures a regarder les nuages puis le sol, très loin au dessous d'elle, défiler. Lorsqu'elle descendit, elle fut accueilli par un soleil éblouissant et une chaleur bien plus étouffante que se qu'elle avait l'habitude de supporté. Un soupire au lèvre, elle se dirigea vers le tapis pour récupéré sa valise. Le reste des bibelots qu'elle voulait garderait arriverai plus tard par camion. Les gros meuble avaient été vendue.

en se dirigeant vers la sortie, elle reconnu son père dans la foule. Elle ne l'avait jamais vu de sa vie, mais elle le reconnu instantanément grâce aux photos qu'il leur avait envoyer à sa mère et à elle. Un sourire aux lèvres elle se dirigea vers lui, s’arrêtant a un petit mètre, hésitant entre rester ou elle était et le saluer poliment et aller le serre dans ses bras et éventuellement se mettre à pleurer...

Elle choisi de rester ou elle était, baissant les yeux en se balançant d'avant en arrière sur ses talons, n'osant le regarder en face alors qu'elle se demandait comment lui allait réagir.

bonjour papa... Je suis heureuse de te rencontré enfin...

Invité

L’inévitable jour était enfin arrivé. Enfin. Je ne l’avais pas vraiment fui, mais je ne l’avais pas non plus attendu, car à tous égards, avoir une fille ne me faisait ni chaud, ni froid. Sa mère m’avait envoyé plusieurs lettres et plusieurs photos d’elle qui traduisaient bien son évolution, mais je n’en avais jamais eu grand-chose à faire. Tout de même, je m’étais attelé, pendant toutes ces années, à lui verser beaucoup d’argent pour qu’elle puisse s’occuper de son rejeton. Je m’étais après tout rappelé de ma propre enfance, ce qui avait conditionné le fait que je n’avais pas pu me résoudre à les abandonner dans la pauvreté, même si je ne me sentais pas l’âme de jouer le rôle du vieux…

Jouer le rôle du vieux hein ? Voilà que cette tâche s’imposait à moi, maintenant qu’elle était morte. Mon amour de jeunesse. D’elle, ne restait plus que sa fille. Fille qui avait réussi à me contacter pour expliquer sa situation avant que je ne prenne la décision fatidique de m’occuper d’elle, maintenant qu’elle était majeure, comme elle-même me l’avait demandé. C’était peut-être trop tard, à tous points de vue, mais bon… Mieux vaut tard que jamais, comme le dit le dicton ! Ce qui expliquait alors ma présence ici, à l’aéroport, les mains dans les poches et l’air plus ou moins renfrogné. Mais alors que je la cherchais du regard en tournant dans tous les sens, je vis une jeune femme à la peau bien mate qui s’approchait timidement de moi. Là, mon visage se décomposa. Pas de doute, c’était bien elle…

- « Angela… »

Même les connards sont humains. Aussi avais-je eu l’impression que le remord m’oppressait. Je déglutis et claquai des doigts pendant que mes gardes de corps s’occupèrent des affaires de ma fille autour de nous. Et puis, soudainement, j’avançai d’un pas vers elle avant de la prendre dans mes bras et de la serrer très très fort ! Et qu’est-ce que c’était bon ! Serrer la chair de ma chair dans mes bras ! C’est à ce moment-là, je pense bien, que ma fibre paternelle se réveilla en moi. Alors, je continuai à l’étreindre chaleureusement contre moi en ravalant mes larmes naissantes. Je me sentais honteux, terriblement sale, irresponsable même. Comment avais-je pu faire preuve d’autant de méchanceté envers ce petit bout de femme qui ne m’avait pourtant rien fait ? Bonne question que voilà…

- « Je suis désolé Angela. Je suis terriblement désolé. Si tu savais comme je m’en veux tellement… Mais ne t’en fais pas, papa sera toujours là pour toi maintenant. Ne t’en fais pas… »

Hôtesse d'Accueil Messages : 24 Date d'inscription : 28/12/2014

Figé devant lui, elle ne sait pas vraiment quel attitude adopter. elle ne l'a jamais vu qu'en photo. Il lui semble grand... Plus qu'elle ne le pensait... et pourtant, elle aussi elle est grande...

- « Angela… »

Elle relève la tête et le regarde en se mordant la lèvre. Elle avait l'impression d'une note de remord dans sa voie... Mais peut être qu'elle se tromper? Qui sait... Elle observa les gardes récupérer ses deux valises sans réagir plus que sa. Incapable de détacher son regard du visage de son père. Cependant, son mouvement suivant la pris totalement au dépourvue. Il s’avança d'un pas vers elle. Alors qu'elle s'attendait a se qu'il l'examine sous toute les coutures, il se contenta de la prendre dans ses bras, la serrant contre lui.

D'abord surprise, elle resta immobile, sans mouvement. Puis, avec hésitation, elle l'entoura de ses bras, avant de se presser contre lui, comme elle rêvait de le faire depuis si longtemps. Et toute les larmes refouler depuis l'accidents, tout son chagrin et son malheur qu'elle n'avait pas réussi a extérioriser... Tous cela déborda au moment ou elle referma les bras autour de son père.

Sans pouvoir s'en empêcher, elle se mis a pleurer. Des larmes de chagrin, de tristesse. Mais aussi de bonheur. Ca faisait si longtemps qu'elle voulait le rencontré... Même si la situation n'était pas la meilleur qu'elle aurai pu vouloir, maintenant c'était chose faite...

- « Je suis désolé Angela. Je suis terriblement désolé. Si tu savais comme je m’en veux tellement… Mais ne t’en fais pas, papa sera toujours là pour toi maintenant. Ne t’en fais pas… »

Elle relève la tête, s'essuyant les yeux avec un mouchoir qu'un homme lui a tendu discrètement. Timidement elle lui sourit. Dire que maintenant elle aller vivre avec lui. Son père. L'homme qui a subvenu toute sa vie a ses besoins et à ceux de sa mère sans que jamais elle ne le vois...

je... je ne peut pas t'en vouloir... pas vraiment... plus maintenant en tout cas... je... je suis heureuse que tu ai accepter que je vienne... Je ne savais pas quoi faire... tu... Merci... Merci papa...

Invité

La scène était plutôt émouvante. Tant et si bien qu’elle attira l’attention de plusieurs personnes qui nous lancèrent des regards attendris. Ils n’avaient peut-être pas entendus ce qu’Angela et moi disions, mais les larmes de la jeune fille suffisaient à leur faire comprendre qu’il ne pouvait que s’agir de grandes retrouvailles. Mais dans notre cas, c’était plutôt une toute nouvelle rencontre. Alors que ma fille pleurait, j’eus un regard tendre. J’aurai également pu me perdre en pleurs, mais il y a tellement longtemps que je n’avais pas versé de larmes que l’affaire me paraissait impossible. Tout de même, son état et ses mots me touchèrent au plus haut point, si bien que je ne sus vraiment quoi répondre…

- « Heu… Je… M’enfin… C’est normal… »

A vrai dire, je ne savais pas par quel bout la prendre. Elle était peut-être heureuse, mais on ne s’improvisait pas papa du jour au lendemain. Il me fallait donc du temps, même si je me promettais de bien m’occuper d’elle et de faire le maximum pour être un bon père. Tranquillement alors, je serre l’une de mes mains et l’entraine avec moi vers l’extérieur de l’aéroport. Autour de nous, c’était un important cortège de sécurité mis en place. Et avec ça, je vins à me dire que l’avoir abandonné à moitié n’était pas une si mauvaise chose que ça. Je l’avais éloigné de la violence, de la drogue, de tous les deals dans lesquels je trempais du fait de mon statut de boss dans l’une des plus importantes mafias du monde…

- « Allez, monte… »

Une fois à l’extérieur de l’aéroport, c’était une file de voitures importante. Je fis alors monter ma jolie fille et constatai avec surprise qu’elle avait un fessier digne de sa mère ! Une vraie latina ! Mais je fis rapidement de l’ordre dans mes pensées pour ne pas à avoir des idées saugrenues. Je m’installai alors à ses côtés, dans la 4x4 aux vitres teintées, avant qu’on ne referme poliment ma porte et qu’un garde ne monte devant nous. Tranquillement alors, je passai une main sur celle de la chair de ma chair avant de la caresser tout en la regardant tendrement. Angela était la photocopie de sa mère, à n’en point douter ! C’est ainsi d’ailleurs que je me mis à la complimenter lorsque la voiture démarra…

- « Tu es vraiment mignonne… Comme ta maman… »

Hôtesse d'Accueil Messages : 24 Date d'inscription : 28/12/2014

- « Heu… Je… M’enfin… C’est normal… »

Elle lui sourit et doucement se dresse sur la pointe des pieds, déposant un baiser sur sa joue. Restant blottit contre lui, elle se dirige vers la sortie avec lui. elle ne prête striquetement aucune attention aux passants qui les observent. elle en a pris l'habitude depuis qu'elle a acquis ses formes d'adulte. Si elle rougissait à chaque fois qu'on la regarder, elle le serait en permanence....

Elle se doutait que tout ne serait pas forcement facile. Ils n'avait aucunement l'habitude d'être ensemble tout les deux. Ils ne se connaissaient pas. Ils leurs faudrait un moment d'adaptation. Le temps d'apprendre a se connaitre. Ses goûts, ses habitudes et tous ses petits détails qui font que tout se passe bien dans une maison...

Se dirigeant donc vers la sortie de l'aéroport elle hausse un sourcil, surprise par tant de sécurité autour d'eux. Arriver dehors elle observe les voitures, se contentant de le suivre vers celle qui va les transporter. A son ordre elle monte dans la voiture en face d'elle. Il s'assoit a côté d'elle et elle sourit avant de regarder par la fenêtre, observant le paysage Elle le regarde lorsqu'il effleure sa main et, pour la première fois depuis longtemps, rougis lorsqu'il lui dit qu'elle est mignonne comme ca mère

Maman disait que je lui ressemblait beaucoup mais que j'était plus jolie car je tenais ma grande taille de toi... Elle disait que c'était mieux d'être grande...

Invité

- « Hahaha, c’est vrai qu’elle n’était pas très grande… »

Alors que je serrai doucement sa main dans la mienne, je me remémorai un peu de sa mère. Une belle femme. Une très belle femme avec laquelle je me serai certainement marié si je n’avais pas déjà ma japonaise. Parce que je l’avais aimé. Vraiment et sincèrement. Elle avait touché mon cœur dès mon premier regard. Et il n’y avait pas que son physique qui était incroyable chez elle. Elle était également très, mais vraiment très gentille et elle avait accepté le délinquant que j’étais sans se poser de question. Un fait plutôt rare, surtout chez putes, ce qu’elle était réellement…

- « Mais tu es vraiment plus belle qu’elle… »

Sur cette phrase, je n’hésitai pas à l’attirer vers moi pour la serrer dans mes bras. N’eut été la proximité du chauffeur, je l’aurai même posé sur mes cuisses, comme s’il s’agissait d’une petite fille. Mais il ne valait mieux pas, d’autant plus que je pouvais dangereusement m’exciter. Elle me rappelait mon amour de jeunesse après tout, tant elle et sa mère se ressemblaient comme deux gouttes d’eau ! Cependant, je me consolai en la serrant dans mes bras comme un vrai père fier de sa progéniture ! Mais j’avais un peu peur. Si jamais je venais à mourir, la jeune femme serait forcée d’être à la tête de la mafia que je gouvernais et qui sait les complots qu’on pouvait mettre en place contre elle…

Pendant ce temps, le cortège s’aventurait dorénavant dans les quartiers riches. A travers les vitres, on pouvait voir de richissimes maisons et tout. C’était vraiment le paradis, ici, en Arizona. C’est je pense, à ce moment précis que je la lâchai pour qu’elle puisse contempler la ville. D’ailleurs, il y avait un toit ouvrant panoramique que j’actionnai de sorte à ce qu’il s’ouvre au cas où elle voulait mieux observait tout ce qui nous entourait. Bon, je pouvais penser que c’était dangereux, mais je ne voyais pas qui pourrait me viser, surtout avec le cortège que j’avais déployé juste pour récupérer ma fille sans encombre. Il faut dire que j’avais fait fort, mais comme nos rivaux étaient capables de tout, prudence était mère de sureté !

- « Alors, comment tu trouves la ville ? »

Hôtesse d'Accueil Messages : 24 Date d'inscription : 28/12/2014

- « Hahaha, c’est vrai qu’elle n’était pas très grande… »

- « Mais tu es vraiment plus belle qu’elle… »

Angela sourit, amuser par se que son père lui dit. Mais bon. Vu son actif de vice président d'un studio de film pour adulte, il devait être caler sur la question et savoir de quoi il parle... Sûrement...

Sans protester Angie se laissa attirer vers lui. Elle se blotit contre lui, dans ses bras, bien décidée a profiter de tout ses petits moment père/fille qu'il accepterait de lui donner. Bien décider a profiter au maximum de ses moments la. Certe le retard accumuler pendant presque deux décennies ne serait jamais combler. Mais maintenant peut être pourraient ils avancer ensemble.

Elle fini par le lâcher alors même qu'il avait le même réflexe. Ils venaient d'entré dans un quartier magnifique. Subjuguer elle décrocha sa ceinture et, a quatre patte sur la banquette observa le paysage defiler derrière la vitre de son côté avant de passer de l'autre côté, sa poitrine venant effleuré les cuisses de son père sans qu'elle y prennent garde alors qu'elle pose une main sur la vitre, attentive a tout.

Surprise par un nouveau bruit, elle releva la tête et, tout sourire, émergea de par le toit ouvrant, observant ainsi tout a loisir la ville et le quartier. Les maisons étaient toute magnifique et elle devina qu'ils étaient ici dans un quartier assez voir très aisée. Même si elles n'avaient jamais manquer de rien avec sa mère grâce a l'argent qu'il leur envoyer, elle n'avais jamais connu quelque chose d'aussi... Grandiose... Spectaculaire... En fait elle n'avait pas de mot...

- « Alors, comment tu trouves la ville ? »

Elle revient a l'intérieur de l'habitacle et lui sourit largement avant d'hocher vivement la tête

c'est vraiment magnifique... Je n'ai jamais rien vu de tel a part dans des films.... Hoooooooooo!!!

Angela bondi, se retrouvant a nouveau a quatre pattes sur le siège au dessus des jambes de son père comme quelque minutes avant. La voiture se dirigeait alors vers une maison... Un palace selon elle, qui la laissa sans voie